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Le mal est entrain d'etre extirpe du FPI par le president GBA.GBO comme je l'ai vu en reve le 12 janvier 2019

Publié le par Akeulette

L'on voit bien, que le FPI est un parti malade, les deux seins de ce parti sont malades, et le mal, est entrain d' etre extirpe par le president GBA.GBO, comme je l'ai vu en songe en janvier 2019! Cette metaphore est trop juste! Quand j'ai publie ce reve, le 12 janvier 2019, le commentaire de Apollos Dan Thé etait: <<Hum! le rêve est très descriptif>> et j'ai repondu: <<Tu sais que tout est metaphorique avec Le Seigneur n'est-ce pas?>> Et voila... Depuis, le rapprochement du president GBA.GBO-AFFI, les querelles se sont amplifiees dans ce parti! Mais comme je l'ai vu dans mon reve du 12 janvier 2019, le president GBA.GBO, la metaphore de ma tante va extirper le mal des deux seins de ce parti malade! Courage a vous, cher president GBA.GBO!

Mamzelle Akeulette Chiepey

Vision de ce matin du 12 janvier 2019, sur les deux FPI. Le mal sera extripe au sein des deux FPI. Dans ce reve, mes seins sont la metaphore des deux FPI, et le mal qui y regne. Je vois mes deux seins qui se tenaient mal. Je faisais semblant, comme si tout allait bien devant les gens, je jouiais la fille epanouie dans les ceremonies, avec des verres de champagnes en main. Mais a l'interieur de moi, mes seins m'agacais, ils ne se tenaient pas, comme je le voulais. Alors Le Seigneur fit venir ma tante, ma getille tante que j'aimais quand j'etais enfant. Je ne l'ai pas revue depuis des decenies, mais c'est elle, que le Seigneur fait venir pour soigner mon mal. Je me vois debout, ma tante devant moi. Je vois ma tante qui se met a sucer mes deux seins a tour de role. En faisant cela, elle extirpait un liquide visqueux de mes deux seins qu'elle crachait a meme le sol. C'etait horrible a voir. Ce liquide visqueux de mes seins, est le mal qui ronge le FPI en son sein. Moi qui fait semblant d'etre heureuse, a l'aise devant les gens, malgre mes seins qui m'agace par leur mauvaise position, est la metaphore de ces barons du FPI, qui pretendent que va bien en leur sein, alors qu'il y'a un mal profond qui ronge ce parti en son sein. Le Seigneur dans son Amour, va mettre fin a ce mal qui ronge le FPI, depuis maintenant 5ans. Ce reve ne fait, que reconfirmer mes precedents reves sur l'harmonie qui reviendra au sein du FPI! Alors s'il vous plait arretez vos querelles a ne point en finir au sein de vos deux FPI!

Le mal est entrain d'etre extirpe du FPI par le president GBA.GBO comme je l'ai  vu en reve le 12 janvier 2019
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Pascal Affi N’Guessan : « Le mur qui me séparait du président Gbagbo est brisé » Par Jeune Afrique du 15 février 2020 à 11h28

Publié le par Akeulette

 Par Vincent Duhem - à Abidjan

Président de la branche du Front populaire ivoirien (FPI) reconnue par la justice, Pascal Affi N’Guessan a rencontré le vice-président Daniel Kablan Duncan le 13 février. Parmi les sujets évoqués : le retour de Laurent Gbagbo en Côte d’Ivoire. Interview.

Pascal Affi N’Guessan semble vouloir battre le fer tant qu’il est chaud. Début février, il s’est rendu à La Haye pour assister à l’audience portant sur le réexamen des conditions de la liberté conditionnelle de Laurent Gbagbo, avant de rencontrer l’ancien président ivoirien à Bruxelles – leur deuxième entretien depuis le début de l’année 2020.

À peine rentré à Abidjan, l’ex-Premier ministre a été reçu, jeudi 13 février, par le vice-président Daniel Kablan Duncan, le ministre d’État chargé de la Défense, Hamed Bakayoko, le ministre de l’Administration du territoire, Sidiki Diakité, et le secrétaire général de la présidence, Patrick Achi.

Le président de la branche du Front populaire ivoirien (FPI) reconnue par la justice revient sur cette rencontre, tout en évoquant son rapprochement avec Laurent Gbagbo.

*Jeune Afrique : Pour quelles raisons avez-vous souhaité rencontrer le vice-président Daniel Kablan Duncan et d’autres membres du gouvernement ?*

 

*Pascal Affi N’Guessan 

C’est d’abord le chef de l’État que je voulais rencontrer. Je lui ai adressé un courrier pour aborder la situation préoccupante dans laquelle se trouve notre pays, à quelques mois de l’échéance présidentielle. Sur le plan technique, les choses piétinent. Que ce soit pour l’obtention d’un consensus sur la Commission électorale indépendante (CEI), la définition du cadre général des élections, ou sur le code électoral.
Sur le plan politique, des nuages s’amoncellent du fait, d’abord, que nous n’avons pas encore résorbé les séquelles de la crise de 20102011, puisqu’il y a encore des prisonniers politiques. À cette situation, s’ajoutent les problèmes liés aux tensions au sein du RHDP et aux poursuites judiciaires contre Guillaume Soro
Il y a actuellement des discussions entre le gouvernement et l’opposition sur la question du code électoral.

*Où en sont-elles ?*

Le cadre de discussions a révélé de graves insuffisances, dans la mesure où les ministres qui négocient n’ont aucun pouvoir de décision, aucune autorité. Tout dépend du chef de l’État. C’est ce qui motive la demande que je lui ai adressée. C’est lui seul qui peut débloquer la situation.

*Il n’y a donc aucun point de consensus avec le gouvernement concernant le futur code électoral ?*

Très peu. Certes, le gouvernement n’est pas fermé à un appui financier en faveur des candidats retenus pour la présidentielle. Mais sur les questions essentielles, comme la CEI, il y a des désaccords importants.
À l’heure actuelle, avec *98 % des commissions locales entre les mains du RHDP*, aucune élection crédible ne peut être envisagée. Nous avions aussi proposé l’organisation d’un scrutin régional à la proportionnelle, pour une meilleure représentativité, mais cela a été rejeté.
Est-il vrai qu’un troisième « round » de négociations sur l’environnement politique des élections doit être organisé ?
C’est ce que nous avons proposé, et le gouvernement n’a pas marqué d’opposition. Je suppose que la rencontre avec le viceprésident s’inscrit dans cette nouvelle étape, ou en est le prélude.

*Quelles ont été les réactions de Duncan à vos préoccupations ?*

Il n’a été mandaté que pour nous recevoir, nous écouter, et avoir des précisions sur certaines questions. Nous espérons qu’il fera le point avec le chef de l’État et que nous aurons des réponses à nos préoccupations.

UNE SORTE DE COMPLICITÉ EST EN TRAIN DE S’ÉTABLIR AVEC LAURENT GBAGBO

*Vous avez aussi plaidé pour un retour de Laurent Gbagbo. Les autorités ont-elles émis un avis sur cette éventualité ?*

Les réactions n’ont pas été négatives. Nos interlocuteurs ont compris le bien-fondé de cette question et la nécessité de travailler de concert pour trouver une solution. Rien ne peut être réglé sans la participation des partisans du président Gbagbo. Chaque camp doit apporter des assurances, prouver sa bonne volonté. Les avocats de la Côte d’Ivoire ont bien rappelé à La Haye que la question du président Gbagbo est politique. Il faut trouver des solutions pour rassurer les autorités, qui pensent que son retour peut être source de difficultés. Le but de notre démarche est de montrer que nous sommes ouverts à la négociation et à la résolution pacifique des différends qui opposent le gouvernement et l’opposition.

 

*Laurent Gbagbo vous a-t-il mandaté directement pour négocier son retour à Abidjan, ou est-ce une initiative personnelle ?*

Il ne me l’a pas demandé, mais il n’est pas opposé à ce qui peut mener à l’apaisement, à la réconciliation. Il pense pouvoir y jouer un rôle important.

 

*Vous l’avez récemment vu à Bruxelles. Quel a été l’objet de votre rencontre ?*

J’ai assisté à l’audience du 6 février. Je ne pouvais pas être à La Haye et ne pas le rencontrer. Il n’y avait pas d’ordre du jour précis. Nous avons échangé sur les situations nationale et internationale, sur le processus qui doit nous conduire à la réunification du FPI.

 

*Justement, où en est ce processus ?*

On peut dire qu’il est achevé à 50 ou 60 %. Le mur qui me séparait du président Gbagbo est brisé. Et c’était le plus important. Il m’a reçu pour la deuxième fois. Une sorte de complicité est en train de s’établir. Il reste aujourd’hui des questions techniques à régler pour aller à l’unification du parti et former une direction commune sans que personne ne soit laissé pour compte.

*Cela veut-il dire que Gbagbo a donné son accord à certaines de vos demandes, notamment votre nomination au poste de premier vice-président chargé de l’intérim ?*

Il n’y est pas opposé. Sinon, il l’aurait dit. Ce qui l’importe, c’est l’unité, qui doit se faire autour du président Gbagbo et de moi-même. Nous devons former un tandem. Car une réconciliation qui se ferait au détriment de l’un ou de l’autre n’est pas motivante.

*Vous a-t-il dit qu’il souhaitait être candidat en 2020 ?*

Nous n’en sommes pas encore à ce stade. La priorité est l’unité du FPI. Nous aborderons ensuite la question de l’élection de 2020, à laquelle nous devons nécessairement participer pour mettre fin à la situation dramatique dans laquelle est notre pays.

*Mais, n’avez-vous pas demandé à être le colistier de Gbagbo s’il était candidat ?*

C’est vrai. Dans l’hypothèse où nous avons réussi à régler tous les problèmes d’ordre judiciaire, à La Haye comme en Côte d’Ivoire, et qu’il peut être candidat, je n’y vois aucune objection, et je serai son colistier. Dans le cas contraire, l’idée est que je sois le candidat du FPI avec un colistier que nous choisirions ensemble.

SIMONE GBAGBO DOIT AVOIR UNE PLACE DE CHOIX DANS LE PROCESSUS DE RÉUNIFICATION

*Êtes-vous prêt à tout accepter pour que le FPI retrouve son unité ?*

Oui. Mais elle doit se faire sur une base objective, et n’exclure personne. Surtout, elle ne doit pas être l’occasion de sanctionner quelqu’un par rapport à ce qui a pu se passer. Je ne vois pas comment on peut mettre deux camps ensemble en sacrifiant une des têtes.

*Avec Gbagbo, la hache de guerre est-elle définitivement enterrée?*

Oui. Lui même m’a affirmé qu’il n’avait jamais demandé à être candidat à la présidence du FPI en 2014, mais qu’il avait accepté devant l’insistance de certaines personnes qui m’accusaient de trahir la lutte.

*On lui a donc forcé la main ?*

Oui, c’est même ce qu’il a dit devant Assoa Adou. Il a insisté pour que cette question soit clarifiée.

*Quelles sont vos relations avec Assoa Adou ?*

Je n’ai aucun problème avec lui. C’est une nouvelle page que nous ouvrons. Il sait ce que le président Gbagbo attend de nous. Je l’ai vu avant d’aller à La Haye le 6 février. Nous avons convenu de démarrer les discussions techniques la semaine prochaine.
Dans cette réunification, quelle doit être la place de Simone Gbagbo
Une place de choix. Elle doit être impliquée dans le processus. C’est l’une des figures du FPI. Notre parti a besoin de tout le monde.

*L’avez-vous déjà vue depuis sa sortie de prison ?*

Pas encore, mais je le ferai très prochainement. Nous attendions d’abord de savoir quelle serait la position de Gbagbo vis-à-vis de moi.

https://www.jeuneafrique.com/896645/politique/pascal-affi-nguessan-le-mur-qui-me-separait-du-president-gbagbo-est-brise/

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Unité du FPI, ce que j’en pense...

 Par: Jean Bonin

Je voudrais avant tout propos saluer le président Affi pour les indéniables qualités de leader dont il a fait montre à l’occasion de la crise du FPI. Ces qualités pourraient se résumer en ces trois mots : humilité, résilience et constance.

I - HUMILITÉ

À toutes les étapes de la crise il est le seul à avoir cru et couru après l’unité en initiant des démarches à l’endroit de toutes les parties prenantes. Sangaré chez qui il s’est rendu à deux reprises (2015, 2016) pour parler unité n’a pas souhaité le recevoir. Affi ne lui en a jamais tenu rigueur.

À plusieurs reprises il a voulu aller témoigner à Simone Gbagbo toute sa compassion lorsqu’elle a été libérée en 2018. Cela n’a pu se faire car celle-ci lui a constamment opposé une fin de non recevoir. Affi a pris tout cela avec fair-play.

L’année dernière il s’est rendu à Paris en vue de rencontrer Gbagbo à Bruxelles. Assoa Adou lui a posé des préalables en l’invitant à aller d’abord se déculotter sur RFI avant qu’il ne soit reçu. Affi est resté droit dans ses bottes car il n’acceptait pas que l’unité se fasse dans l’illégalité et l’irrégularité.

II - RÉSILIENCE

On dit d'un homme qu'il est résilient lorsque, plutôt que de nier les évènements ou de s'enfoncer dans la tristesse et la dépression à cause d'eux, il parvient à y faire face, à ressortir plus fort de ses expériences, à rester optimiste et confiant. Affi a fait preuve de résilience pour arriver là où il est aujourd’hui. Cette capacité de résilience qui lui a permis de voir de vertes et des pas mûres, et même d’avaler des couleuvres, a fini par payer.

En effet, contre toute attente, il a réussi à engager un dialogue direct avec Gbagbo, à la grande surprise de tous ceux qui manœuvraient dans l’ombre pour que cela ne se puisse pas. De fait, plutôt que de s’attarder sur le secondaire, il a gardé les yeux fixés sur le principal qu’est l’objectif de l’unité et de la réconciliation interne. Il a mis de côté son amour propre, ce qui lui a permis de ne pas tenir compte des frustrations, des forfaitures, des falsifications et des faux en écriture servis à certains militants, naïfs pour certains et endoctrinés pour d’autres. Que ne leur ont-ils pas servis comme intoxication ? “Affi veut tourner la page de Gbagbo...”. “Affi ne veut pas que Gbagbo soit libéré...”. “Affi veut empêcher Gbagbo de redevenir président du FPI alors qu’il a besoin de cet instrument pour mener sa lutte contre la CPI...”. Et bien plus encore...

Aujourd’hui l’on sait tous que tout cela était cousu de fil blanc. La seule vérité c’est que Gbagbo n’a jamais demandé à redevenir président du FPI. Il y a été « contraint » par ceux qui ne pouvaient pas affronter Affi à la régulière pour le contrôle du parti mais qui ont voulu utiliser Gbagbo par procuration, comme un épouvantail ou un père fouettard, pour mener leur guerre de positionnement contre Affi. Cette vérité là pour certains ne fait pas plaisir à entendre. Mais elle doit être sue, d’autant qu’elle ne saurait être un obstacle à la dynamique unitaire qui aujourd’hui est irréversible. À moins qu’elle ne soit pas sincère pour toutes et tous.

Gbagbo a été contraint d’accepter au regard de la campagne d’intoxication dont il a été l’objet. Gbagbo l’a expressément signifié à Assoa Adou. Je vous fais une confidence (et Assoa Adou ne me contredira pas), Gbagbo a même tenu à ce que ce point soit clarifié et soit mentionné dans le communiqué qui devait sanctionner sa rencontre avec Affi.

Ceux qui ont « forcé la main » à Gbagbo lui ont fait croire que Affi avait trahi la lutte parce qu’il discutait avec le pouvoir RHDP. Aujourd’hui c’est Gbagbo lui-même qui demande à Affi d’engager les négociations avec Ouattara. Alors c’était quoi le problème ? Que de temps perdu !!!

CONSTANCE

Le Larousse définit la constance comme étant le “caractère de quelque chose (ou de quelqu’un) qui reste identique, qui ne varie pas : constance d'un phénomène”. Affi est resté constant dans sa logique du “asseyons-nous et discutons”, tant avec le pouvoir RHDP qu’avec ses camarades du parti.

Bien avant tout le monde il a compris que le dialogue avec l’adversaire politique était un passage obligé et non de la compromission, encore moins de la traîtrise. Le président Affi n’a jamais douté de ce que la survie du FPI était dans la participation au jeu politique et aux élections et non dans la défiance et le boycott permanent. Les faits lui donnent aujourd’hui entièrement raison.

Le dialogue qu’il a initié avec le gouvernement RHDP est applaudi par ceux-là même qui hier le fustigeait. La participation à toutes les échéances électorales à venir est partagée par tous, sans exception, avec une CEI réformée ou pas. Qu’on l’aime ou pas force est de reconnaître que loin d’être un traître, Affi est un visionnaire, un précurseur. Il trace les sillons et les autres l’empruntent. C’est cela le vrai leader.

Il a réussi à faire la paix des braves avec Gbagbo, là où Ado n’a pas réussi à la faire avec Bédié et Soro. Il a réussi à rassembler sa famille politique, là où Bédié, Ado et Soro n’y sont pas arrivés car ils n’ont pas été capables de dominer leur amour propre. Or être un grand leader c’est aussi être capable de mettre de côté son égocentrisme pour privilégier l’intérêt commun.

Pour ma part, je souhaite l’unité du FPI car elle est nécessaire pour faire face à la redoutable machine qu’est devenue le RHDP. Mieux, au delà du FPI, je formule le vœu qu’un large cadre de concertation entre tous les opposants au régime en place soit rapidement mis en place en vue d’une mutualisation des forces, des idées, des ressources humaines et des compétences, mais également des moyens logistiques et financiers. C’est à ce seul prix, qu’ensemble, dans le respect des uns et des autres, grands ou petits partis, nous gagnerons haut la main la présidentielle d’octobre prochain.

Ainsi ai-je parlé.

Jean Bonin
Juriste
Citoyen ivoirien

 

 

 Pascal Affi N’Guessan : « Le mur qui me séparait du président Gbagbo est brisé » Par Jeune Afrique du 15 février 2020 à 11h28
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Une action militaire aura lieu en Cote d'Ivoire! Cette vision d'aujourd'hui, n'est qu'une autre confirmation, de mes reves et visions sur l'action militaire qui aura en Cote d'Ivoire

Publié le par Akeulette

Ce matin du 16 fevrier 2020, je me suis la metaphore d'une petite fille, qu'un militaire porte sur ses epaules. Je m'entends dire alors: " action militaire!" Sur, les epaules de ce militaire, je pouvais voir, beaucoup d'autres militaires, rassembles dans une salle. Je ne voyais pas leurs tetes, mais seulement leurs uniformes de combats (treillis) avec leurs rangers aux pieds! Cette vision d'aujourd'hui, n'est qu'une autre confirmation, de mes reves et visions sur l'action militaire qui aura en Cote d'Ivoire. Ma realite spirituelle,  sur l'avenir  politique de la Cote d'Ivoire, differe tellement de celle, de tout les autres ivoiriens, et des hommes politiques ivoiriens y compris, que, je ne peux,que, me taire et observer dans le silence, l'excitation des uns et autres, qui pensent que, tout se deroulera comme ils l'ont planifie.

Akeulette

 

 

 

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Acquittés/Côte-d’Ivoire: Gbagbo veut que la CPI lui rende toute sa liberté: Par Fanny Pigeaud, Médiapart

Publié le par Akeulette

6 février 2020 par Fanny Pigeaud, Médiapart

Depuis que la Cour pénale internationale l’a acquitté, il y a un an, Laurent Gbagbo, ex-président de la Côte d’Ivoire, est assigné à résidence en Belgique, sans possibilité de s’exprimer publiquement. Il demande aujourd’hui que lui soit restituée « l’intégralité de ses droits humains fondamentaux ».

Une personne acquittée de toutes les charges portées contre elle peut-elle se voir privée d’une partie de ses droits et de sa liberté ?

En France et au sein de l’Union européenne en général, la question est tranchée depuis longtemps : aucun fondement juridique ne permet un tel scénario. La liberté est la règle et la détention, l’exception. Mais du côté de la Cour pénale internationale (CPI), les choses sont nettement plus floues, depuis qu’elle a gardé Laurent Gbagbo, l’ex-président de la République de Côte d’Ivoire, en détention provisoire pendant une durée record de huit années, et que l’une de ses chambres d’appel a décidé, le 1er février 2019, de limiter sa liberté, en lui imposant des conditions drastiques, équivalant à une assignation à résidence, alors qu’il a été acquitté. Elle a ainsi contredit les juges de première instance qui avaient ordonné, le 15 janvier 2019, la libération immédiate et sans condition de l’ancien président ivoirien et de son ex-ministre de la jeunesse, Charles Blé Goudé, après avoir annoncé leur acquittement.

Le débat va toutefois être relancé : il y a quatre mois, Laurent Gbagbo a déposé une requête exigeant la restitution de « l’intégralité de ses droits humains fondamentaux » et dénonçant une « absence de base légale et factuelle » aux mesures qui lui ont été infligées. À partir de ce jeudi 6 février et pendant deux journées d’audience, la chambre d’appel va donc devoir reconsidérer sa décision, sans précédent dans la jeune histoire de la CPI et des juridictions internationales.

Actuellement, Laurent Gbagbo, 74 ans, est obligé de rester en Europe et ne peut se déplacer hors de sa ville de résidence, Bruxelles, sans l’autorisation de la CPI. Contre le droit de vivre en Belgique, où il habite depuis le 5 février 2019, il s’est par ailleurs engagé à rester totalement silencieux. Depuis un an, il ne s’est donc ni montré ni exprimé en public. Il a dû laisser tous ses papiers d’identité au greffe de la CPI, doit « pointer » une fois par semaine auprès des autorités belges et ne peut changer d’adresse que si la CPI lui en donne la permission. Resté aux Pays-Bas, Charles Blé Goudé, 47 ans, est soumis à des restrictions similaires. S’il a la possibilité de s’exprimer, il n’a pas le droit d’évoquer son dossier judiciaire.

C’est le procureur de la CPI, Fatou Bensouda, qui a demandé que la liberté des deux hommes soit ainsi restreinte, voire qu’ils soient maintenus en détention. La magistrate gambienne a fait appel de la décision d’acquittement et dit craindre que Gbagbo et Blé Goudé décident de se soustraire à la justice avant la fin de cette procédure. Elle s’est appuyée sur un article du Statut de Rome, texte fondateur de la CPI, selon lequel : « Dans des circonstances exceptionnelles, et en fonction, notamment, du risque d’évasion, de la gravité de l’infraction et des chances de voir l’appel aboutir, la chambre de première instance peut, à la demande du procureur, ordonner le maintien en détention de l’accusé pendant la procédure d’appel. »

Les juges de la chambre d’appel, saisis après que la chambre de première instance a débouté Bensouda, ont cependant fait une interprétation très personnelle de cette disposition, puisqu’ils ont choisi l’option d’une « liberté sous condition », non prévue par le Statut de Rome pour le cas d’un acquittement. De surcroît, ils n’ont pas précisé à quelles « circonstances exceptionnelles » ils se référaient, invoquant plutôt des « raisons impérieuses », une notion qu’ils n’ont pas expliquée et qui ne figure pas dans les textes de la CPI.

Lors de l’audience de ce jeudi 6 février, il y aura une nouveauté : la chambre d’appel a autorisé la République de Côte d’Ivoire à être présente et à prendre la parole. À l’ouverture du procès, début 2016, la chambre de première instance avait pourtant rappelé qu’elle n’était « ni partie, ni participante » à la procédure.

On connaît déjà la position des représentants de la Côte d’Ivoire, dirigée depuis 2011 par les adversaires politiques de Gbagbo, lesquels ont étroitement collaboré avec le bureau du procureur pour la constitution du dossier d’accusation et étaient en contact avec lui avant même les premières violences de 2010.

 

Dans un texte rédigé par un groupe d’avocats, dont les Français Jean-Paul Benoît et Jean-Pierre Mignard, la République de Côte d’Ivoire a en effet fait savoir, fin janvier 2020, qu’elle était favorable à l’idée de limiter la liberté de l’ex-président, affirmant que « les chances de voir l’appel aboutir sont réelles » et que « le comportement de monsieur Gbagbo est imprévisible ». Laurent Gbagbo « dispose de soutiens politiques dans différents pays et bien évidemment en Côte d’Ivoire. Ceux-ci manifestent ostensiblement leur solidarité que ce soit sur les réseaux sociaux ou devant les locaux » de la CPI, souligne ce document, laissant entendre que l’ancien chef d’État pourrait se servir de sa popularité pour échapper à la justice. En filigrane apparaît surtout la volonté des autorités ivoiriennes d’empêcher un retour de Gbagbo dans son pays, en prévision de la prochaine élection présidentielle d’octobre 2020, à laquelle il veut se porter candidat.

Cela étant, rien n’est encore joué pour ce qui concerne l’appel contestant la décision d’acquittement, initié par Fatou Bensouda. Les juges de la chambre d’appel doivent dire s’ils le rejettent, s’ils ordonnent la reprise du procès là où il a été arrêté, c’est-à-dire avant l’audition des témoins de la défense, ou, option extrême, s’il faut ouvrir un nouveau procès devant une autre chambre de première instance. Ils n’ont pas de contrainte de délai ou de date limite pour livrer leur verdict. Ils ont reçu les arguments de Fatou Bensouda en octobre 2019 et devraient avoir ceux de la défense en février ou mars.

Fatou Bensouda accuse les trois juges de la chambre de première instance d’avoir commis des erreurs de procédure et de droit. Elle leur reproche de ne pas avoir présenté leur décision d’acquittement « par écrit », comme le demande l’article 74 du Statut de Rome. Il est vrai qu’ils l’ont annoncée de manière orale en janvier 2019, avant de notifier par écrit leurs motifs six mois plus tard, en juillet. Ils avaient justifié ce décalage par la nécessité de prendre en compte les droits de Gbagbo et Blé Goudé : ils estimaient qu’il ne fallait pas attendre qu’ils aient terminé la rédaction de leurs arguments pour les libérer.

Le procureur relève aussi que les juges n’ont pas rédigé un mémoire unique. Selon le Statut de Rome, la décision écrite doit contenir « les vues de la majorité et de la minorité » lorsqu’il n’y a pas unanimité entre les juges, ce qui est le cas dans cette affaire puisque l’un des trois juges s’est opposé à l’acquittement. Au lieu de cela, explique le procureur, chacun des magistrats a rédigé son propre mémoire (celui du juge Geoffrey Henderson fait toutefois figure de document principal puisqu’il présente « l’analyse que la majorité a faite des éléments de preuve »).

Autre argument avancé par Fatou Bensouda : les juges ont acquitté les deux accusés sans avoir, affirme-t-elle, préalablement défini une « norme juridique » ou une « approche claire et cohérente » pour apprécier les preuves. Cela a rendu leur analyse « inexacte », assure-t-elle tout en jouant sur le fait que la procédure de no case to answer (demande de non-lieu), qui a abouti à l’acquittement, n’est pas prévue par le Statut de Rome.

« Un théorème fragile et non plausible »
Fatou Bensouda ne souhaite pas qu’il y ait une reprise du procès : elle veut un « mistrial », c’est-à-dire l’annulation du procès, ce qui lui donnerait la latitude de décider quelle suite donner à l’affaire, explique-t-elle. Une requête surprenante et « sans précédent », commente un juriste consulté par Mediapart. Lequel s’interroge sur l’objectif du bureau du procureur : envisage-t-il de cesser totalement les poursuites ou songe-t-il à joindre ce dossier à celui portant sur les présumés crimes commis par les troupes levées par Alassane Ouattara en 2011 ? Ces derniers font, depuis plusieurs années, l’objet d’une enquête du procureur, mais aucun mandat d’arrêt n’a encore été émis.

Nul doute, en tout cas, que la décision de faire appel de Bensouda aura heurté le président de la chambre de première instance, Cuno Tarfusser. Au fur et à mesure que les audiences du procès s’étaient succédé, ce magistrat italien avait manifesté de plus en plus de signes d’exaspération. C’est sur son insistance que les avocats des deux accusés avaient initié la procédure de no case to answer après l’audition des 82 témoins de l’accusation, sans attendre que ceux de la défense soient entendus, tant les récits des premiers avaient été faibles, incohérents ou à décharge.

Fait inhabituel, Cuno Tarfusser a d’ailleurs tenu, alors qu’il était sur le point de quitter la CPI où il a passé dix années, à faire le résumé des principales conclusions, auxquelles il est arrivé à l’issue de son dernier procès, mais aussi de ses « préoccupations » à propos du fonctionnement de la CPI, du travail du bureau du procureur, de la chambre d’appel et des équipes de défense. Ce texte, décapant, est à lire si on veut mieux comprendre ce qui s’est joué dans ce dossier très politique, mais aussi pendant la crise postélectorale de 2010-2011 qui a opposé Laurent Gbagbo à Alassane Ouattara.

Tarfusser donne des informations, restées jusque-là confidentielles, sur la manière dont la procédure contre Gbagbo a été enclenchée, en 2011. Le bureau du procureur avait déjà pris « certaines des mesures d’enquête », dont des « premiers contacts avec des témoins clés », avant même que les juges de la CPI aient autorisé l’ouverture d’une enquête, indique-t-il, confirmant ainsi le caractère pour le moins douteux du dossier, révélé par Mediapart en 2017. Il dit aussi que les circonstances et le déroulement de la phase d’inculpation de l’ex-président ont été « inhabituels », comme l’avait aussi souligné Mediapart.

À propos du procès, le magistrat de 65 ans redit que les témoins de l’accusation « ont les uns après les autres systématiquement affaibli, lorsqu’ils n’ont pas complètement décrédibilisé, la thèse qu’ils étaient “censés” soutenir ». Cette thèse, c’était bien sûr celle du procureur, selon laquelle Laurent Gbagbo et son entourage auraient conçu un « plan commun » dès son élection, en octobre 2000, pour lui permettre de garder le pouvoir, et auraient utilisé les forces de défense et de sécurité (FDS) contre les populations civiles lors de la crise postélectorale de 2010-2011. « Aucun » des milliers de documents produits par le procureur n’a apporté le « commencement de confirmation » de ladite thèse et nombre d’entre eux étaient « d’authenticité douteuse », observe Cuno Tarfusser. La majorité « n’aurait pas réussi ne serait-ce que le plus rudimentaire des tests d’admissibilité » dans de nombreux systèmes nationaux.

Au bout du compte, la thèse du procureur s’est révélée être « un théorème fragile et non plausible, reposant sur des bases instables et douteuses », un « récit caricatural et déséquilibré ». Pire, « les preuves (testimoniales et documentaires) produites par le procureur ont fait émerger de nombreux éléments qui, tout simplement, suggèrent un récit radicalement différent de celui qu’elle proposait ». Le procureur, qui aurait dû enquêter à charge et à décharge, a choisi d’ignorer de nombreuses données « allant à l’encontre » de sa thèse, déplore le juge. Il a, par exemple, passé « sous silence » le rôle « des groupes lourdement armés » qui attaquaient les FDS à Abidjan, n’a accordé aucune importance à un témoignage « selon lequel l’ONU n’était pas toujours et uniquement impartiale, mais a parfois soutenu les rebelles », etc. Le mémoire principal présentant les analyses de Tarfusser et du juge Henderson constate de son côté que Fatou Bensouda a « balayé » le rôle et « l’influence des troupes françaises », pourtant centraux, et n’a pas pris en compte les événements antérieurs à 2010, dont la tentative de coup d’État de 2002 qui a eu un impact considérable sur le pays et la présidence Gbagbo.

Cuno Tarfusser reprend également chacun des quatre « incidents » retenus par Bensouda contre Gbagbo, dont celui du 16 décembre 2010. Ce jour-là, le président Gbagbo aurait, selon le procureur, ordonné aux FDS de tirer sur une marche « pacifique » de partisans d’Alassane Ouattara à Abidjan. Le procès a livré une autre version : « Il ressort des éléments de preuve qu’il n’y avait pas que des manifestants pacifiques parmi les participants à la marche », écrit le juge. Lequel ajoute : « Il est difficile de ne pas se rallier au témoin P0330 lorsqu’il conclut que la marche était une manifestation armée déguisée et donc un piège tendu aux FDS. »

Acquittés/Côte-d’Ivoire: Gbagbo veut que la CPI lui rende toute sa liberté: Par Fanny Pigeaud, Médiapart
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Ce matin du 07 janvier 2020, en reve, j'ai vu le president GBA.GBO assis sur un banc dans une salle, il avait l'air plus jeune!

Publié le par Akeulette

J'entre dans une salle, je me vois entrain  de saluer des gens tout en souriant. Ces gens dans le songe m'etaient familliers. Et puis, je vois, le president GBA.GBO, assis sur un long banc avec  deux ou trois personnes. Il portait une chemise bleue,  il avait  l'air plus jeune,  comparee a l'image, que j'ai vu de lui hier a la CPI. Il me regardait pendant que je discustais avec les gens dans la salle.

Fin du reve.

Que veut nous dire ce reve?

Dans le reve, le president GBA.GBO, est assis sur un banc, je pense que c'est le banc des accuses. Ce qui veut dire a mon avis, que le proces va se poursuivre ou recommencer si l'appel de la procureure est retenu!  Mais cela lui sera favorable. Car, il etait habille d'une chemise a couleur bleue et avait l'air plus jeune.  <<Le rêve  de bleu est un symbole de vérité, de paix et de sérénité,  le bleu est la couleur de la vertu dans l'action et du dynamisme en reve. Rêver de bleu signifie authenticité, sincérité, générosité et pouvoir de réalisation>>

Dans le reve, le president GBA.GBO apparaissait plus jeune, il avait l'air d'un homme d'une soixantaine d'annees. Cette metaphore, nous previent qu'il aura un reversement de situation favorable au president GBA.GBO! <<Une vieille ou un vieux connu de soi et qui apparaît jeune : - VIEILLE - VIEUX - Prévient d'un renversement de situation favorable, voire excellent, et ceci est plus flagrant quand on traverse une période critique.>>

Ce matin du 07 janvier 2020, en reve, j'ai vu le president GBA.GBO assis sur un banc dans une salle,  il avait l'air plus jeune!
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