Comme le monde procede de l'invisible, deja le 15 novembre 2017, le FPI et moi fetions cette belle fete que fut, la " fete de la liberte du 12 mai 2018 " chez moi Adzope. En effet dans mon reve intitule: <<Une fanfare Celeste nous accompagne le FPI ET MOI, a l'enterrement des malheurs de la Cote d'Ivoire chez MOI a Adzope!!!>> je vois le president AFFI dans un T-shirt noir et casquette noire, qui portait un grand T-shirt noir plie dans ses mains. Ce grand T-shirt noir etait les malheurs qui couvraient la Cote d'Ivoire. Dans le reve bien que nous portions tous un uniforme en pagne avec des motifs de couleurs blancs et noirs, seul le president Affi portait le tout noir, car c'est lui qui porte le deuil, les malheurs de la Cote d'Ivoire devant le Seigneur! Nous allions donc a l'enterrement des malheurs de la Cote d'Ivoire accompagne d'une fanfare celeste ce qui fut fait le samedi 12 mai dans le monde visible! Vous avez tous remarque, que la fete de la liberte fut une totale reussite, car le Seigneur est avec le president AFFI dans ses demarches pour la liberation de la Cote d'Ivoire! Une premiere partie de ce reve s'est materialise le 14 decembre 2017, quand les FRCI de Dramane Ouattara en voulant anticiper ce que j'avais vu dans mon reve, ont ete envoyes par J'Emmerde Bakayoko sacager le domicile de madame Monnet a la recherche d'armes apres avoir lu mon reve. Oui le gouvernement de Dramane Ouattara prend mes reves tres au serieux. Attendons de voir maintenant la suite des evenements en Cote d'Ivoire qui sera sans doute la Guerre de la Liberation! Merci cher president AFFI N'GUESSAN!

Voici pour vous, la captivante interview de monsieur Atteby au sujet de la reussite parfaite sur le plan physique de cette fete de la liberte qui a lieu le samedi 12 mai 2018, a Yopougon.

Bonne lecture

Atteby William (PCO de la fête de liberté du FPI à Yopougon) : « Ce qui divise réellement Affi et Sangaré »

La fête de liberté à Yopougon, le samedi dernier a enregistré une mobilisation extraordinaire des militants de votre parti. Pouvez-vous nous dire comment cela a été possible ?

Atteby William : Cela tient à une série de facteurs. Dans un premier temps, le parti a responsabilisé les fédéraux parce que dans la structure du Front populaire ivoirien (FPI), les fédéraux sont ceux qui gèrent le parti au quotidien dans les différents départements, les Districts, j’allais dire les localités territoriales. Ils sont en contact direct avec les militants. En les responsabilisant, leur volonté de montrer ce qu’ils sont sur le terrain s’est trouvée renforcée. De ce fait, les fédéraux ont beaucoup financé ce rassemblement, aidés en cela par les vice-présidents de Districts. Moi-même, je préside le district 2 qui comporte Abobo, Yopougon... Cette façon de faire a responsabilisé les gens. Chacun a voulu effectivement montrer que dans sa fédération, il y avait des militants. Je dois aussi dire que s’il ne s’agissait pas d’une question de moyens, on aurait fait plus. Pour nos camarades qui viennent de Minignan, de Kong, de Niellé, de Ouangolodougou, le transport fait plus de 20.000 F CFA. Dans l’état actuel, on leur a demandé de venir à cinq ou six alors qu’il y avait la possibilité de venir à 50, 60 et on aurait pu avoir au moins 50.000 personnes à la place Ficgayo. Il y a aussi la volonté pour les militants de prouver que le FPI existe sur le terrain, sur l’ensemble du territoire national et qu’il est incontournable. Il y a des camarades qu’on n’attendait pas qui sont venus. Parce que le parti n’a pas financé le déplacement des militants…

Vous en êtes certain… ?

A.W. : Oui. Nous n’en avons pas les moyens. Les gens se sont cotisés eux-mêmes. Quand le voyage d’une seule personne coûte 25.000 F CFA, il ne faut pas s’attendre à cinq personnes parce que ces militants sont parfois des petits fonctionnaires, des paysans… Donc, venir de Ouangolodougou, d’Odienné, de Kaniasso a un coût. Mais les camarades ont tenu à être là. Troisièmement et en toute honnêteté, c’est un appel que les militants ont voulu lancer à la direction du parti pour dire qu’ils ne veulent qu’un seul FPI. Parce que des personnes qui étaient à Mama étaient présentes. J’ai même reçu ce matin (mardi 15 mai; Ndlr) l’appel de femmes qui étaient à Mama mais qui sont aussi venues à Ficgayo et qui veulent me rencontrer. Ce sont tous ces facteurs en tenant compte aussi de l’environnement dans lequel nous sommes qui ont favorisé cette mobilisation. Il y a aussi le thème de cette fête de la liberté notamment « la mobilisation pour la reconquête des libertés et l’alternance en 2020 », et aussi « l’hommage aux prisonniers », notamment à Laurent Gbagbo, à son épouse, à Lida, Assoa Adou, à tous ces militaires, à toutes ces personnes pour leur dire qu’elles ne sont pas seules et qu’il y a une opinion publique en Côte d’Ivoire qui les soutient. Avec tous ces facteurs, il y avait même des gens qui ne sont pas du FPI mais qui sont venus. Tout simplement parce que ce sont des thèmes qui touchent à notre destin commun.

Certaines sources indiquent que cette cérémonie a été financée par le pouvoir, à hauteur de 25 millions de F Cfa. Une manière de dire que vous collaborez avec le pouvoir.

A.W. : Mais si on est des collabos du pouvoir, au lieu de nous donner 25 millions, ce qui serait souhaitable, c’est de dégeler nos avoirs et nos comptes. Moi qui vous parle, j’ai des créances importantes au Trésor depuis 2011, et qu’ils ont décidé de ne plus payer. C’est franchement ridicule. Regardez, le FPI a déménagé parce qu’on ne peut pas payer notre siège. Nous sommes ici dans le local de la Fondation Memel Fotê et vous le voyez. Dieu merci, nos quelques députés ont pu passer un coup de peinture pour que le local soit un peu correct. Nous souffrons le martyre quotidiennement. Ce genre de propos n’est pas trop responsable. Le FPI n’est financé par personne, sinon par ses seuls militants. Je dis que ceux qui disent cela n’ont pas de respect pour nos douleurs. Atsé Yapo, le vice-président Gossio et moi-même ainsi que de nombreux autres cadres avons encore nos comptes gelés. Il y a quelque temps, je rendais hommage au président Bédié parce qu’il m’a aidé en intervenant pour moi. Je l’ai dit publiquement. Et c’était à la Une de «Le Nouveau Réveil ». Malgré les efforts du président Bédié, rien n’est fait. En plus du président Bédié, il y a des personnes même au sein du RDR qui ont décidé de m’aider, de plaider pour moi, mais rien n’est fait. Comment voulez-vous qu’on nous donne 25 millions, alors que nos comptes sont gelés et qu’il suffit d’un seul mot pour qu’on les récupère. Ce n’est pas sérieux. Comme le disait un ami, même si le président Affi danse dans une piscine, ces mêmes diront qu’il soulève la poussière. C’est dommage que des gens puissent déblatérer de telles inerties qui ne les grandissent pas.

A.W. : Après ce qu’on a vu à Yopougon, on est en droit de se demander qui d’Affi et de Sangaré maîtrise le terrain ?

A.W. : A mon avis, ce n’est même pas une question qu’on doit poser. Il y a une chose qui est indéniable. Je ne sais pas combien de personnes, il y avait à Mama, mais à Yopougon, il y avait plus de 10.000 personnes, à voir seulement la marche. Il y avait des jeunes qui ont dit qu’ils ont marché et ils sont allés s’asseoir dans les maquis sans venir à Ficgayo. Ceux qui y étaient peuvent le dire, nous n’étions pas moins de 10.000 personnes. Admettons qu’ils étaient 5 ou 6.000 à Mama, cela fait toujours plus nombreux qu’à un seul endroit. La réalité du terrain n’appartient pas à un camp en réalité. Les militants du FPI comme je l’ai dit, étaient aux deux manifestations. Le fait est que le FPI soit dirigé aujourd’hui par le président Affi N’Guessan. Et ça, il n’y a pas de débat là-dessus. Il est reconnu comme tel par l’Etat de Côte d’Ivoire et même par la communauté internationale qu’Affi est le président du FPI. Il est reçu par tous les ambassadeurs. Regardez tous ces chefs d’Etats qui le reçoivent. A côté de cela, il y a une fronde effectivement dirigée par des personnes qui ne sont pas n’importe qui au sein du parti, ce sont des figures historiques, il faut le reconnaître. Et cela a forcément un impact sur notre capacité à nous retrouver tous au même endroit. Dans cette perspective, il est évident que nous sommes plus faibles que tout aurait été différent si nous étions tous ensemble. C’est cela l’essentiel.
Aujourd’hui, le FPI est dirigé par le président Affi et il se porte bien. Il ira encore mieux lorsque nous réussirons à nous mettre ensemble. De 2014, au début de la fronde, à ce jour, on peut dire que le FPI se porte mieux parce qu’il y a quelque temps, on ne pouvait pas réunir autant de gens à Yopougon, il était pour nous, impossible de le faire. Je suis vice-président du district Abobo, Yopougon et Abobodoumé et je puis vous dire qu’il y a des fois où nous avons fait des réunions à 3 ou 4 personnes. Des camarades étaient pourchassés par d’autres camarades issus de la fronde mais aujourd’hui, ces histoires sont derrière nous. C’est de cette même façon que la fronde sera derrière nous et tout le FPI se retrouvera. Je pense que les uns et les autres comprendront qu’il y va de l’intérêt commun et même de toute la Côte d’Ivoire.

Est-ce qu’il y a des contacts dans les deux camps ?

A.W. : Oui, il y en a.

‘‘Sangaré n’a jamais dit qu’il veut être président du parti’’ De quelle manière ? Ya-t-il des médiations souterraines ?

A.W. : Il y a des médiateurs souterrains et même publics. Je peux vous dire qu’il y a quelque temps, le pasteur Yaï Dion a approché les deux parties pour les entendre et jouer le médiateur mais Sangaré n’est pas venu. Bien avant cela, il y a eu une association de chefs traditionnels conduite par Gbo Decoster qui est le chef des Bété à Yopougon pour aller voir Sangaré mais il n’a pas voulu les recevoir. Le doyen Abou Cissé que vous connaissez bien s’est joint une nouvelle fois au pasteur Dion pour essayer de faire asseoir les deux responsables à la même table mais Sangaré n’est pas encore venu. Vous vous rappelez que récemment Koné Katinan qui est le porte-parole du président Gbagbo, ce que personne ne lui conteste, au sortir d’une audience à La Haye, a dit que le président Gbagbo demande que l’union se fasse autour de Sangaré. Cela suppose que Sangaré va appeler tout le monde ou il acceptera qu’on vienne autour de lui. Il n’a pas voulu. Même qu’on rassemble autour de lui, il ne veut pas. Lorsqu’on a posé la question après à Koné Katinan, il a reconnu que le président Gbagbo n’a pas ajouté autour de Sangaré mais que c’est lui qui l’a ajouté dans l’espérance que cela aurait ramolli la raideur de Sangaré. Malheureusement, cela n’a pas eu le résultat escompté.

Si le président Gbagbo dit effectivement de se mettre autour de Sangaré, est-ce que le président Affi est prêt à se mettre avec Sangaré ?

A.W. : Absolument.

Au second plan ?

A.W. : Ce n’est pas une question de plan. Cette question ne peut se régler que par rapport au statut du parti. Sangaré est une autorité morale du parti et on ne peut pas le lui contester. On peut ne pas être du même avis que lui, mais on ne peut pas nier que Sangaré est une autorité morale du parti. Ce qu’il dit ou ce qu’il fait a un impact sur l’esprit des militants. Autour de Sangaré, cela peut signifier à mon sens, qu’en tant qu’aîné, qu’il rassemble tout le monde et que nous discutions. Si au cours de la discussion, nous estimons que nous devons mettre tel ou tel au premier rang ou en seconde ligne, on verra. Mais cela suppose qu’on s’est assis et que cela ne s’est pas fait pour mépriser X ou Y. Que cela s’est fait pour renforcer le parti mais si cela n’est pas fait, on ne peut pas dire que c’est autour de quelqu’un. Le préalable, c’est qu’on s’asseye parce qu’avec tous ces intellectuels, il ne devrait pas avoir de problèmes insolubles, tabous. Comme on le dit au FPI, « asseyons- nous et discutons ».
Posons-nous les questions pour savoir ce qui ne va pas et trouvons une solution. Nous en avons l’obligation. Voici ce qui nous semble essentiel. Sangaré n’a jamais dit qu’il veut être président du parti. Il a dit que c’est Gbagbo qui dit qu’il veut être président du parti. Et que cela ne pourrait être que dans le cadre d’une stratégie de sa défense en tenant compte de sa position qui est la sienne à La Haye. Dans un tel cas, la seule chose que le président Gbagbo fera, c’est d’appeler le président Affi lui-même pour lui dire que pour telles ou telles raisons, je souhaite ceci ou cela. Et c’est le président Affi qui va nous appeler pour nous le dire. Le président Affi ne sera jamais contre une position clairement prise par le président Gbagbo, s’il estime que c’est cela qui est conforme aux intérêts du parti, de lui-même et de la lutte que nous menons. Tant que ce n’est pas fait et qu’on nous dit qu’il a dit à tel ou tel, il y aura toujours des doutes.

Est-ce que vous n’êtes pas en train de porter une grave accusation contre le congrès organisé par Sangaré où on a brandit un document signé de Gbagbo en tant que candidat ?

A.W. : Mais c’est un faux document. Le président Affi a fait toutes les expertises graphologiques. Et, ce document est faux. Vous ne pouvez pas faire un tel document à La Haye. Tous les experts ont expliqué que Laurent Gbagbo ne peut écrire un tel document en étant à La Haye. Il n’en a même pas les moyens. C’est une prison de haute sécurité et il ne peut pas faire de la politique là-bas. Il ne peut pas écrire un tel document pour dire qu’il est candidat à une élection. C’est du faux qui a été fait par les frondeurs. Ils espéraient qu’au vu d’un tel document, le président Affi aurait eu peur mais ce fut une erreur. La preuve, le fameux notaire qui a authentifié la signature de Gbagbo sur ce document a été radié de l’ordre des notaires parce qu’il a fait du faux. Ce document est un faux et il n’y a pas de débat là-dessus. Le président Gbagbo n’a pas besoin de donner un document pour dire qu’il est candidat. S’il est candidat, il sera candidat, mais il n’en a pas besoin.

L’origine de la fronde au FPI…
Qu’est-ce qui divise fondamentalement les deux camps ?

A.W. : En fait, la fronde, c’est plusieurs entités réunies mais avec un dénominateur commun : avoir Affi pour ennemi. L’origine vient de la fronde des enseignants de l’ex-SYNESCI, je veux parler d’Akoun Laurent, de Tapé Kipré et Tchéidé Gervais.
Leur fronde part de ce qu’ils estiment qu’en 2011, selon eux, le FPI était à terre et que ce sont eux qui ont relevé le parti, qui l’ont mis sur pied et qui en font un parti politique. Selon eux, il n’y a donc pas de raisons qu’une fois sorti de prison, Affi revienne prendre le parti qu’ils ont ressuscité. D’autant plus qu’ils n’ont rien eu pendant que le président Gbagbo était au pouvoir comme ils le disent. C’est le clan d’Akoun et autres. Il y a d’autres qui estiment, il faut l’avouer, qu’ils ne veulent pas voir Affi président. Lorsque je suis revenu d’exil, je n’ai pas honte de le dire, j’étais avec Sangaré, avec Assoa Adou.
J’étais membre du bureau d’Assoa Adou. J’ai été frondeur à un moment donné. J’ai été nommé secrétaire général, chargé de la Justice dans le bureau d’Assoa Adou au début parce que certains estiment que si l’un d’entre nous, quel qu’il soit, émerge, cette émergence se fait nécessairement contre le président Laurent Gbagbo et que c’était comme si on tournait sa page. Il ne faut pas bouger. On ne participe à rien, on ne fait rien. On attend le retour de Gbagbo parce que si nous faisons quelque chose, si nous faisons la politique sans lui, on gagne des postes sans lui, la tendance à l’oublier sera trop grande. Pour ne pas qu’on l’oublie, il faut qu’on reste dans cette optique de deuil, presque de belligérance même si on n’a pas les moyens de belligérance mais qu’on ne fasse rien jusqu’à ce que Gbagbo revienne. Il y a des gens plus messianiques qui estiment que dans les prophéties, le président Gbagbo reviendra et qu’il rependra le pouvoir. Ce sont les «malachistes». Voilà les différentes entités.

Est-ce qu’ils n’ont pas raison de penser ainsi ? Est-ce qu’en réalité l’émergence d’un autre leader ne va pas faire oublier Gbagbo dans sa cellule de La Haye ?

A.W. : Ils ont tort sur toute la ligne. Comment peut-on penser oublier Gbagbo ? Je ne sais pas comment on pourrait l’oublier. Laurent Gbagbo a dépassé le cadre de la Côte d’Ivoire. Il y a des pays comme le Cameroun, le Ghana, le Togo où les gens marchent pour Laurent Gbagbo. Il ne faut pas penser que parce que quelqu’un n’est plus au pouvoir, on l’oublie forcément. Je dis non. Bien au contraire, je pense que c’est pourquoi beaucoup de chefs d’Etats pensent qu’ils doivent rester longtemps au pouvoir.
Il y a d’autres qui ne conçoivent le retour de Laurent Gbagbo qu’en voyant Laurent Gbagbo président de la République. Mais c’est une décision qui n’appartient qu’à lui seul et au peuple ivoirien. D’autant plus que vous ne savez même pas quand est-ce qu’il revient. Or, aussi longtemps qu’on sera dans cette posture, on n’aura pas assez de moyens pour agir sur le fait politique et obtenir notamment la liberté des prisonniers…

Quelle est alors la stratégie d’Affi?

A.W. : La stratégie d’Affi est de conquérir le pouvoir, de faire grandir le FPI, de participer au jeu politique, de nous réconcilier avec la communauté internationale qui s’est trompée, qui se rend compte qu’elle s’est trompée. Elle avait pensé qu’on pouvait trouver mieux que nous, en termes de démocratie et de droits de l’homme et elle se rend compte que tel n’est pas le cas. Aujourd’hui, elle est prise dans ses propres turpitudes parce que vous installez quelqu’un et après vous vous rendez compte que c’est pire que celui que vous avez bombardé pendant tout ce temps. C’est donc du dynamisme du FPI et de sa vitalité que découlera la libération de Laurent Gbagbo car c’est un procès éminemment politique. Aujourd’hui, le procès est arrêté et tous les témoins à charge qui étaient supposés établir la véracité et l’exactitude des faits reprochés à Laurent Gbagbo, ont fini par être des témoins à décharge. Au point où les avocats estiment aujourd’hui qu’ils n’ont pas à plaider puisqu’aucun début de preuves n’a été sorti des allégations contre le président Laurent Gbagbo. C’est un procès politique. Il est en prison. Et, cela fait 13 fois qu’on lui refuse la liberté provisoire.
Qu’est-ce qu’il faut de plus pour démontrer que c’est un procès politique et que c’est une posture politique qui nous permettra de sortir Laurent Gbagbo de cette situation. Voilà ce à quoi Affi travaille depuis 2011 même quand il était encore en prison.

Avez-vous l’avis favorable de Laurent Gbagbo sur cette stratégie ?

A.W. : Il est d’accord. Sinon, il ne l’aurait pas dit à Katinan. Il est en prison et il n’a de l’extérieur que la vision de ceux qui lui rendent visite. Il n’a pas accès à internet, encore moins à certaines choses…

Pourquoi Affi N’Guessan ne va pas lui rendre visite à la CPI ?

A.W. : Malheureusement, cela ne dépend pas de lui. Le jour où Affi N’Guessan a été libéré de ses sanctions - parce qu’il était sous sanctions - il a automatiquement eu accès à son passeport diplomatique en sa qualité d’ancien Premier ministre et le même jour, c’est Me Odéhouri et moi-même qui avons rédigé la demande de visite d’Affi à La Haye. La Haye nous a dit que le président Gbagbo dit d’attendre et on attend toujours.

L’avez-vous relancé ?

A.W. : Nous l’avons fait plusieurs fois. Nous pensons que certains ont dit des inexactitudes au président Laurent Gbagbo qui a dû se fâcher avec Affi ou certaines personnes.

Est-ce que ce n’est pas cette colère du président Gbagbo contre Affi qui réconforte les frondeurs dans leur position ?

A.W. : Ça ne peut pas être seulement cela. Il y a aussi de la manipulation. Même s’il n’a pas reçu Affi, il n’a non plus pas reçu Sangaré. Ce n’est pas faux de dire que Sangaré a plusieurs fois essayé de le croiser. Et les gens ont tendance à oublier cet aspect. Il reçoit des gens proches de Sangaré, Il reçoit des gens proches d’Affi mais il n’a jamais reçu ni l’un ni l’autre. J’ai cru comprendre par le biais de quelqu’un qu’il reçoit régulièrement, qu’il entendait recevoir les deux en même temps. Ce qui me semble plus logique le connaissant et à mon avis plus efficace parce qu’il a besoin de comprendre ce qui s’est passé. Ceux qui disent que Gbagbo est fâché avec Affi doivent aussi se dire que Gbagbo est fâché avec Sangaré puisqu’il ne reçoit pas Sangaré. Je pense qu’ils ont mis le président Gbagbo dans une position difficile et ils se rendent compte du faux dont ils ont usé, de la manipulation qu’ils ont tentée à son égard, des mensonges et aujourd’hui il fait des efforts pour rattraper tout cela. Aujourd’hui, Gbagbo est dans la perspective d’unir le FPI et c’est Sangaré qui s’y oppose

Selon l'article de Stephanie Maupas , ecrit le 04 mai 2018 pour RFI, sur le proces du president GBA.GBO et Charles Ble Goude, elle affirme que les avocats du president  GBA.GBO dont maitre Altit en tete se disaient: << prêts à en découdre si les juges devaient retenir – au moins partiellement – les charges portées contre l’ancien chef d’Etat.  Mais pas une seule fois  ces avocats n'avaient ecrit dans leur requete le mot: « acquittement ». L'on se demande bien pourquoi, d'autant que, toujours selon Stephanie Maupas: << Les avocats de Charles Blé Goudé demandent, eux, clairement « l’acquittement complet ». Je me dis de ce fait, qu'il y'a une entite " invisible" qui met la pression sur maitre Altlit pour ne pas qu'il  fasse correctement son travail! Pourquoi un avocat qui croit en l'innocence de son client, ne demanderai pas un acquitement dans ce proces bidon de la CPI? Je l'ai dis dans mon reve de la semaine derniere sur lui, je disais que maitre Altilt  etait sous pression, il etait stresse! Est-ce la France, cette entite "invisible" qui met la pression sur maitre Altilt? N'est-ce pas cette  France qui a refusee que la liberte soit accordee au president GBA.GBO le 23 mai 2013 comme nous le revele le journal Francais Marianne? Liberation du president que j'ai vu en songe en octobre 2012!  En effet N'est-il pas bizarre que Maitre Altit ne mentionne pas le mot << acquittement>> dans sa requete alors que les avocats de Ble Goude l'ont fait? Moi, je comprends, pourquoi, il ne mentione pas le mot <<acquittement>> c'est simplement parceque maitre Atlit n'est pas sur de sa demarche et il est sous pression! Vous rappelez dans mon recent songe sur lui qui date du 29 avril 2018, il m'etait apparu stresse, ne sachant pas quoi me repondre, quand je lui ai demande la date de la reprise du proces du president GBA.GBO! Vous voyez, cette procedure sur les demandes d'acquittement n'est pas automatique, nous dit la journaliste, cela peut prendre du temps, combien de temps? Maitre Altilt ne le sais pas! <<Si les juges acceptent de se pencher sur les demandes d’acquittement – une procédure qui n’est pas automatique – ils pourraient ensuite décider de retenir la totalité des charges, ou d’acquitter partiellement ou en totalité les accusés. Si l’une ou la totalité des accusations sont retenues, la défense devra alors appeler ses propres témoins.>>  Voila donc tout s'explique pour moi! Merci maitre Altit!!!

Le 12 septembre 2012, en songe l'ange m'a dit ceci sur la liberation de president GBA.GBO "Gba.Gbo est sorti de prison que par lui meme et pour lui meme." Ce n'est donc pas maitre Altit qui aide le president GBA.GBO  a sortir de prison en plaidant pour lui, mais c'est plutot le president GBA.GBO qui se libere tout seul! Comment? Seul Dieu Le Sait!

Dans l'emission de Afrique presse deTV5 du 04 mai 2018, le journaliste Assane Diop a parle d'une fausse routine de Maitre Altit dans le proces GBA.GBO, Il dit que ce dernier ne s'attaque pas au fond du dossier, ni a des distortions au niveau du dossier, et que pendant les 13 fois que maitre Altit a demande la liberte provisoire du president GBA.GBO, il n'a avance comme argument que "l'etat de sante du president et son age"! De ce fait il pose cette question a maitre Altit: << A quoi joue la defense du president GBA.GBO?>> hein.., maitre Altit repond nous! Le journaliste s'est aussi indigne de la reaction de maitre Habiba Toure, reaction qu'il qualifie de " bateau" lol! Selon lui la reaction de maitre Habiba Toure n'est pas a la hauteur du dossier du president GBA.GBO et pas non plus a la Hauteur du destin du president GBA.GBO!!! Suis entierement d'accord avec ce journaliste!! Bravo cher monsieur. (Voir lien)

https://afrique.tv5monde.com/videos/magazines/afrique-presse/season-2017-2018/episode-35

Bon maintenant, j'aimerais faire une mise au point a propos de la " deuxieme femme" du president GBA.GBO

Mon premier reve sur elle remonte au 01 fervrier 2015, dans ce reve intitule: <<La liberte provisoire pour notre First Lady Simone Gba.Gbo?>> Je vois Simone GBA.GBO LIBRE, et ensuite, Le Seigneur commence a me parler de la deuxieme femme du president GBA.GBO,

Il me la presente comme une femme venale qui m'arracha la jupe que je portais dans le reve, j'etais nue du coup, je n'avais que mon slip. Mais elle s'en foutait, elle se rejouissait de m'avoir arrachee mon habit! Ainsi donc mon deuxieme reve qui date de septembre 2017, n'est  qu'une continuiete de la description de la  femme nuisible qu'elle represente pour le president GBA.GBO, et la Cote d'Ivoire! Je me rejouis enormement du temoignage que j'ai pu recouper sur elle!

Ci joint mon premier reve sur cette dame!

http://lacriseivoirienneestspirituelle.overblog.com/2015/02/la-liberte-provisoire-pour-notre-first-lady-simone-gba-gbo.html

Par Stéphanie Maupas

Plus de trois mois après l’audition du dernier témoin de l’accusation dans le procès de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé devant la Cour pénale internationale (CPI), leurs avocats demandent l’acquittement partiel ou total. Les juges devront d’abord dire s’ils acceptent leurs requêtes avant de se prononcer sur le fond. Une procédure qui pourrait encore prendre plusieurs mois.

De notre correspondante à La Haye

Si les avocats de Laurent Gbagbo estiment que le procureur n’a pas prouvé l’affaire, pas une seule fois ils n’écrivent dans leur requête le mot « acquittement ». Ils s’affirment prêts à en découdre si les juges devaient retenir – au moins partiellement – les charges portées contre l’ancien chef d’Etat. Les avocats de Charles Blé Goudé demandent, eux, clairement « l’acquittement complet ». « L’accusation n’a pas présenté de preuves susceptibles de justifier une condamnation, il n’y a pas lieu de présenter des éléments de preuves supplémentaires », écrivent maîtres Geert Knoops et Claver N’dri. Le Néerlandais et l’Ivoirien veulent que les juges tranchent dès maintenant, car selon eux, Charles Blé Goudé « n’est pas coupable des crimes qui lui sont reprochés ».

Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé sont jugés depuis janvier 2016 par la Cour pénale internationale pour quatre crimes contre l’humanité pour meurtres, viols, actes inhumains et persécutions, commis entre novembre 2010 et avril 2011. Selon les Nations unies, les violences qui avaient suivi la présidentielle de fin 2010 en Côte d’Ivoire ont fait au moins 3 000 morts. Si les juges acceptent de se pencher sur les demandes d’acquittement – une procédure qui n’est pas automatique – ils pourraient ensuite décider de retenir la totalité des charges, ou d’acquitter partiellement ou en totalité les accusés. Si l’une ou la totalité des accusations sont retenues, la défense devra alors appeler ses propres témoins.

Plan commun, commandement parallèle

Ce nouvel acte de l’affaire Gbagbo/Blé Goudé a débuté au terme de la déposition du dernier témoin du procureur, le 19 janvier. Après l’audition, en deux ans, de 82 témoins, dont beaucoup se sont révélés « hostiles » à l’accusation, les juges ont demandé au procureur de préciser sa thèse. Dans un document de quelque 260 pages, le procureur rappelle que les accusés ont participé à un « plan commun », mis sur pied par un cercle restreint, devant permettre à Laurent Gbagbo de conserver le pouvoir au prix de violences dirigées contre des civils, partisans d’Alassane Ouattara, son concurrent à la présidentielle. Pour l’étayer, le procureur évoque notamment les minutes d’une « réunion de concertation » organisée le 3 décembre 2010, dont le compte rendu a été récupéré à la résidence présidentielle à Cocody, dans la chambre de Simone Gbagbo après l’arrestation du couple, le 11 avril 2011.

Pour le procureur, c’est « l’un des moments clés de l’exécution du plan commun ». Le meeting a été organisé au moment où la Commission électorale indépendante (CEI) s’apprêtait à annoncer la victoire d’Alassane Ouattara. Ces minutes « démontrent les efforts coordonnés et concertés, la contribution, l'intention et la sensibilisation de Gbagbo et des membres du cercle rapproché pour garder Gbagbo au pouvoir par tous les moyens », estime le procureur.

Le document tente par ailleurs de décrire la montée en puissance de la répression de l’opposition depuis la tentative de coup d’Etat de septembre 2002 des Forces nouvelles, qui avait durablement scindé le pays. La création, par le pouvoir, de milices de jeunes, puis l’embauche de mercenaires libériens avaient suivi le coup d’Etat manqué. Des groupes qui peu à peu sont intégrés – ou en ont reçu la promesse – aux Forces de défense et de sécurité (FDS) qui incluent aussi la Garde républicaine, deux brigades spécialisées de gendarmerie, le BEA et le BASA, et le CECOS, principaux outils, selon l’accusation, d’un commandement parallèle. Créée après la crise de 2004, cette brigade anticriminalité, CECOS, permet alors au pouvoir de contourner l’embargo sur les armes, décrété par les Nations unies. Lors de la crise de 2010, leur sont acquis des officiers subalternes au sein de l’armée de terre, de l’air et de la marine, qui « en plus de leur salaire régulier (…) reçoivent un paiement mensuel en liquide du palais présidentiel ». Chef de milices et mercenaires reçoivent aussi leur solde en cash à la présidence.

Une enquête « approximative »

Dans leur demande d’acquittement, les avocats des deux accusés ne répondent pas, à ce stade, sur le fond, mais contestent la validité des preuves du procureur. Emmanuel Altit, avocat de Laurent Gbagbo, dénonce une enquête « approximative », dont il serait « impossible d’en tirer quoi que ce soit de concluant et de convaincant. » Il reproche au procureur l’absence d’authentification de l’intégralité des pièces présentées au procès et remises à ses services par les autorités ivoiriennes, dont « dépendaient » les enquêteurs, qui n’ont pas comparu au procès. L’avocat parisien, pour les mêmes raisons, remet en cause les résultats d’exhumations. Il conteste aussi le registre d’entrée de la résidence présidentielle, qui n’aurait été authentifié que partiellement. Un document clé de l’accusation, sur lequel le substitut Eric McDonald a notamment bâti la preuve de l’existence alléguée d’un plan commun.

L’avocat souligne encore qu’un seul expert en balistique s’est présenté à la barre. Evoquant les témoins, Emmanuel Altit reproche au procureur d’avoir fait enregistrer des dépositions obtenues de détenus en Côte d’Ivoire, ou d’avoir laissé des témoins déposer par vidéoconférence alors que « le pouvoir politique ivoirien actuel – non démocratique – fait régner la terreur et emprisonne ses opposants ». Selon l’avocat, « plusieurs témoins de l’accusation ont fait l’objet de menaces et de poursuites après avoir témoigné ». Emmanuel Altit ajoute que l’accusation n’a pas appelé d’historien à la barre, préférant se baser sur une source unique, « un militant politique du parti d’Alassane Ouattara ».

Enfin et surtout, il reproche à l’accusation de n’avoir présenté « aucune preuve directe » d’un plan commun qui se serait étendu sur dix ans et concernerait « des centaines de personnes », lui reprochant de demander aux juges « un acte de foi ». Pour conclure, l’avocat aborde le fond, rappelant qu’il « a toujours considéré l’affaire sous l’angle du conflit armé » et précisant que si les juges devaient décider de poursuivre le procès, il s’intéressera notamment « au comportement des FRCI », les Forces républicaines de Côte d’Ivoire, qui formaient avant la crise la rébellion des Forces nouvelles. Un terrain qu’a consciencieusement évité le procureur tout au long de sa présentation, malgré les demandes des juges, espérant sans doute ainsi mieux appuyer sa thèse selon laquelle des civils pacifiques étaient ciblés par Laurent Gbagbo et son cercle proche.

http://www.rfi.fr/afrique/20180504-gbagbo-ble-goude-demandent-acquittement-cpi-haye

Bonjour les amis (es)

La polemique sur la maitresse du president GBA.GBO continue. Je vous ai recoupee les temoignages d'une dame, une journaliste qui la connait tres bien, qui a travaillee avec elle. Le temoignage de cette journaliste, ne fait que corroborer, ce que ma vision du  15 septembre 2017 me disait sur la deuxieme " femme" du president GBA.GBO. J'ai ecris: <<Je me vois m'engueuler avec la "deuxieme femme" du president GBA.GBO et un groupe de personnes (les frondeurs) qui suivent son proces dans une salle, je reproche beaucoup de choses a sa deuxieme femme dans le reve... je lui en veut terriblement, et pourtant je ne connais pas cette dame dans la vraie vie, ni le president GBA.GBO! Je pense que le Seigneur me dis que cette dame a beaucoup avoir avec les "malheurs" du president GBA.GBO!>> Les histoires ont commence entre ces deux dames dans l'affaire du dossier " We"!

La journaliste qui fait ces revelations, est une anti AFFI, de la fronde du FPI a Paris, aujourd'hui cette fronde, les " GBA.GBO OU RIEN" sont divises, a cause de la maitresse du president GBA.GBO Nady Bamba qu'elle appelle " Krotoumou" ou la " vie privée" du president pour ironiser.  Dans ses revelations vous aurez une autre confirmation du pourquoi, une certaine " marche du 04 novembre 2017" entre pro GBA. GBO et Sorrow Guillautine  a avortee! Cette marche a avortee, parceque les gens ont decouvert que c'etait Sorrow Guillautine derriere cette marche! Certains GBA.GBO OU RIEN, ont vu le jeu trouble de celui que j'appelle l'agent double, ce faux pro-GBA.GBO le mec du L'UNG, que le Seigneur m'a montre en reve le 16 janvier 2016 dans mon reve intitule: "les rebelles vont commencer a s'entredechirer" comme quelqu'un qui etait a la solde de J'emmerde Bakayoko et de Sorrow Guillautine. Devinez quoi, dans cette crise que traverse les " GBA.GBO OU RIEN" de France, lui il est du cote de Nady Bamba! Qui dit Nady Bamba, dit Sorrow Guillautine, dit J'emmerde Bakayoko, dit aussi Dramane Ouattara!!! Ces gens par qui le malheur est arrive en Cote d'Ivoire, avec Sorrow Guillautine en tete.

Ci joint, le temoignage de cette journaliste Ivoirienne, c'est un peu long, mais ca vaut le coup! Vous comprendrez beaucoup mieux le role qu'a jouee cette Dalila Bamba pour ses freres les Philistins- Dioula!!! Dieu fera chuter cette emprise des Dioula- Philistins sur la Cote d'Ivoire!

"Nous avons décidé de mettre un terme à cette affaire, justement parce qu'elle est gênante. Elle est gênante, en ce sens qu'elle touche directement le président. Même si nous sommes sans ignorer que nous combattons tout un système. Mais je me plie aux désirs de nos responsables qui sont touchés quand on parle de la " femme " du président. Et qui ont décidé de continuer le débat jusqu'à l'apaisement de celle - ci. Je vais dès lors prendre le premier point du discours.

1) ● L'arrestation et la déportation du président Laurent Gbagbo 1.
Il est bien d'en parler, mais cette situation n'est pas indépendante de TOUT ce qu'il s'est passé durant toute la gouvernance du président. Elle est la résultante d'une série d'actes et d'actions qui ont favorisé et occasionné ce chaos de 2011. Celle dont on parle et pour qui on nous jette en pâture et nous traite en parias, a joué quel rôle pendant que le président était au pouvoir ? Était - elle dans le privé du président ou au devant? Dans les décisions politiques et sur le terrain ou non? Il faut qu'on y réponde. Quand on a finit, il faut qu'on nous dise si ses différends et son animosité envers la première dame Simone Gbagbo sont restés dans le privé. Bien entendu que non. Ils ont été étalés non seulement devant les sachants et militants, mais aussi dans la presse. A côté du fait que " la femme " du président , pour reprendre les termes de notre ambassadeur qui n'ignore pas que la législation ivoirienne ne reconnait que Simone Gbagbo, était une marraine et caution des rebelles, au point de se retrouver quotidiennement en leur compagnie, il y a eu plusieurs autres choses aussi curieuses les unes que les autres. On ne va pas remonter à l'avant présidence. On va juste parler de pendant. Vincent Hugeux dans l'Express du 29 octobre 2010 intitulé: Côte d'Ivoire, les femmes de Gbagbo font campagne, il utilise des termes comme " la polygamie" de Gbagbo. Et révèle OFFICIELLEMENT que la mère de celle-ci, séparée de son père était "intime" de Youssouf Bakayoko, imposé à Laurent Gbagbo à la tête de la Cei qui a fini par aller déclarer dramane, président de la république au Golf hôtel . Comment se fait-il ? Simple question.
Ce sont ces questions auxquelles nous voulons répondre pour situer LES RESPONSABILITÉS et l'on nous empêche. Tout ceci relève-t-il de la vie privée du président ou de la VIE DE LA NATION?
La suite...

2) ● L'arrestation et la déportation du président Laurent Gbagbo 2.
Comme je le disais dans mon précédent post, en plus de la proximité de la mère de " la vie privée du président " avec Youssouf Bakayoko de la Cei, ses animosités et autres batailles avec la première dame Simone Gbagbo n'étaient ni secrètes, ni privées. La presse affirme aussi que toute référence à Simone était ainsi bannie des colonnes du Temps. "Si elle y figure un jour, aurait tranché Nady, ce sera à la rubrique nécrologique." On a beau essayé d'expliquer cette phrase, tant elle est grave, d'autres éléments viennent confirmer qu'il y avait effectivement problème. Anne - Marie N'guessan, en son temps journaliste dans ce canard et affectée aux reportages de la première dame Simone Gbagbo, a fini par partir en déposant ces valises à la Rti justement pour ça . Jusque-là, vous direz que ce ne sont pas nos affaires. Mais qui peut nous expliquer pourquoi on oppose une rivalité féroce à la première dame, connaissant sa force de frappe et son génie politique, alors même que le pays avait besoin de sa rigueur pour venir à bout de ces ennemis internes et externes. Qui nous explique pourquoi pendant que la première dame prend une position Responsable pour qu'on protège les ivoiriens des rebelles, l'autre fait le contraire en faisant leur lit. Allant jusqu'à isoler le président avec les rebelles, en privé entouré de soro, wattao et consorts sous le prétexte de célébrer son anniversaire. Qui nous explique? C'est bel et bien Politique. N'en déplaise à ceux qui ont décidé d'utiliser le slogan " vie privée du président" comme cache-sexe. Qui nous explique pourquoi l'époux de sa grande sœur à la tête d'une société d'état détourne des Milliards, se fait prendre, envoie une délégation de leur village et n'est pas inquiété. Qui nous explique pourquoi la mère est impliquée dans une affaire de pagnes contrefaits qui met en difficulté le président. Qui nous explique pourquoi on nomme des DG et les soupçonnant d'être proches de la première dame, l'autre fait en nommer d'autres. Je vous épargne tout le reste des dégâts pour l'instant pour ne pas se faire hara Kiri. Qui nous explique l'idée de tout ce CAFOUILLAGE de cette trop bruyante " vie privée " ?
La suite....

3) - L'arrestation et la déportation du président 3
On va abréger pour arriver aux accords de Ouagadougou, qui étaient plus un accord de dupes, qu'autre chose. Une histoire où les proches du président sont allés dans une ambiance bon enfant, rigoler, copiner et partager de gros sous sur le sang des ivoiriens. Mais on oublie très souvent de dire qui a facilité cette décision de " gérer" avec blaise dont la mauvaise foi est sans pareil . Bref, on va arriver aux élections, donc à la campagne. L'une des Motivations des adeptes de la théorie des élections sans désarmement. Campagne, donc de facto: ARGENT ! Bien entendu , sans oublier l'objectif réel: EMMENER LE PRÉSIDENT LAURENT GBAGBO A ALLER AU ELECTIONS ET EN FAIRE UN ARGUMENT SOLIDE POUR LE FAIRE PARTIR DU POUVOIR.Tout se passe comme prévu. La " vie privée du président " est à la tête de la campagne. Tout feu, tout flamme. Apparitions publiques et autres décisions forcément politiques. On parle d'un budget d'à peu près 10 milliards de Fcfa sans compter les donations. Avec sa structure de publicité qui gérait TV2 ( ça aussi c'est une toute autre longueee affaire), donc on va passer, elle collabore avec " les sorciers blancs" d'Euro RSCG. C'est une campagne approximative avec des prestataires et des " stagiaires " comme moi , pas payés sous le prétexte que c'était du bénévolat ( si si) . Ce n'est pas rare dans les habitudes de ce groupe de personnes. Si leurs employés actuels sont de bonne foi, ils vous diront leurs traitements salariaux. Résultat, échec au nord, colère des partenaires,militants et sympathisants. Pour la majorité des barons du Fpi, sa campagne a été un échec. Encore un désaveu de la part de ceux qui ont toujours pensé qu'elle est la personne qui a introduit l’appât facile du gain parmi les hommes su président. Femme d'affaire, elle n'hésitait pas à marchander pour obtenir certaines choses. Face à cet échec, la première dame a repris la campagne du deuxième tour en main, mais la bourse etait toujours entre les mains de l'autre.

4) -L'arrestation et la déportation du président 4
Tombée en disgrâce pour avoir échoué pendant la campagne. Avec toutes récriminations faites, la " vie privée" s'est écartée et avec très peu de moyens, la première dame a repris la main. Nous sommes donc au deuxième tour et au vu de ce que je vous décris, vous avez les camps qui s'opposent et les potentiels aigris. Annonce des résultats avec son lot de violence. Youssouf minuit, soro ( celui qui avait pompeusement annoncé que le président Laurent Gbagbo était infiltré jusqu'au slip, comment? On ne sait pas), ses proches et leur armée rentrent dans l'arène. Excités comme des puces. Méconnaissables, quand on sait que le soro en question léchait les souliers du président. Insolents et menaçants. Ils avaient été lâches comme des chiens. Par qui? Violente question. Oui On connait la communauté internationale. Mais et les autres sur place?.....Hmmmmmm
Tout est mis en oeuvre pour venir à bout du régime de Laurent Gbagbo. Sous les bombes, Simone et Gbagbo Laurent puis leurs amis, collaborateurs et proches, sont là. Pour encore subir le PIRE . L'autre qui s'invitait régulièrement dans les appartements de la résidence au mépris de la présence de la première dame, était aux abonnés absents! Mieux, elle appelle le président au téléphone pour lui demander de QUITTER LE POUVOIR parce qu'il aurait perdu. Oui ! Il s'agit bien de votre petite maman ! Le président tient encore quelques temps. Mais au vu des nombreux morts civils, par humanisme, il abdique et se rend.
Il est malmené, perd ses proches et collaborateurs. Simone ? Elle est celle qui va le plus baver. Bastonnée, violentée, humiliée par les hommes de soro. Pour le plaisir de qui? Nul ne pourrait le dire avec certitude. Ce qui est sûr ce sont les mêmes personnes qui ont inventé cette histoire d'escadrons de la mort. Croyez-moi, les occidentaux ont le dos large. Un jour, on en parlera.
Le couple Gbagbo est arrêté!

5) - L'arrestation et la déportation du président 5
Pendant que, même le chien du président est pourchassé pour être assassiné, des faits insolites continuent de se produire. La " vie privée " du président, est là, sereine.
Elle explique très calmement dans une interview parue dans Ses journaux le 10 octobre 2012, qu'elle n'a pas fuit la Côte d'Ivoire. Bien au contraire elle explique que quand elle a vu les proches du président et lui-même se faire arrêter les uns après les autres, elle a spontanément pris son téléphone et appelé un proche de celui qu'elle appelle ici " le premier ministre" ( faisant référence au rebelle soro) pour lui signifier sa volonté de se rendre si elle était aussi recherchée. Le proche lui a fait savoir qu'il était inutile qu'elle se rende au golf. Elle dit donc être restée chez une amie avant de partir se REPOSER à Accra. Avant d'ajouter "En allant donc au Ghana, je ne fuyais pas la Côte d'Ivoire, j'y allais pour me remettre de mes émotions".
Chers amis, combien de pro-Gbagbo n'ont pas eu ce privilège d'échanger aussi cordialement avec les rebelles et sont mortes sous les balles?
Combien de pro-Gbagbo ont eu le temps de plier même 2 affaires, s'organiser et aller se REPOSER hors de la Côte d'Ivoire?
Combien de pro-Gbagbo ont eu le temps de réfléchir et décider d'aller en exil?
Combien ont eu la chance de s'expliquer avec les rebelles avant d'être jetés en prison par ces rebelles?
Combien à l'instar de Désiré Tagro, Sylvain Gagneteau et bien d'autres ont eu l'opportunité d'en appeler à l'humanisme des rebelles avant d'être criblés de balles?
Très curieusement, " la femme du président", selon vos propres propos, intime donc de celui-ci, échappe au courroux de ces tueurs qui ont le temps même d'échanger les civilités avec elle. A t-on besoin de faire des plans sur la comète ou de schémas St Cyriens?

Pourquoi nous parlons de la " vie privée" du président aujourd'hui?
Il aurait juste fallu qu'on nous pose cette question pour qu'on explique à ceux qui ont un problème de compréhension. En effet, cette vie privée n'a pas commencé à Nuire et attirer des mécontents contre le président aujourd'hui. La très discrète " vie privée du président" n'a pas épargné la presse. Il s'agit du projet du journal le Temps qui a été conçu par Théophile Kouamouo et Alain Toussaint. Qui sont allés voir le président pour le financement. Au finish, comme vous pouvez le constater, le projet est devenu SIEN. Ce qui a suscité le courroux de ceux-ci. Colère légitime en dépit de tout ce que je peux leur reprocher. La " vie privée du président" venait à nouveau de faire des victimes dans un domaine hyper privé: la presse! Pour finir par le gérer comme une boutique de Diallo et refuser de payer les gens sous le prétexte qu'ils ont été cooptés par le président vers qui elle les renvoyait.
Donc pourquoi aujourd’hui? Parce que, non contente d’avoir emmené la cupidité
et l'amusement dans la Résistance au départ très dynamique,elle a remis le couvert en Ramenant Son soro parmi nous à nouveau.
En effet, c'est la marche du 4 novembre qui va attirer notre attention sur cette affaire. Ce qui a été qualifié de boutade, cachait un plan bien plus macabre. Selon un canard, même si le président Laurent Gbagbo n'a pas eu soro au téléphone, sa " vie privée " à des contacts avec lui( soro). Cette affirmation n'est pas hasardeuse en ce sens que pendant que nous cherchions à travers des posts à comprendre les motivations d'une invitation des rebelles à notre marche, j'ai reçu des coups de fils de personnes très introduites pour calmer le jeu. Celles-ci les unes après les autres,disaient en gros que le président a validé le projet de marcher avec soro selon ce que " sa vie privée " leur aurait dit. Avec comme cerise sur le gâteau l'apparition du petit gros sur la place Parisienne. Beurk, un menu avarié et fétide! Donc un Rdv serait en vue pour boucler l'affaire parce que ça obéit à une stratégie politique.J'ai gentiment demandé à mes interlocuteurs lequel des "Gbagbo" il s'agissait. Bref, ils pensaient certainement m'attendrir avec cette instruction du président avec une voix connue et assez féminine. Les ignorants ont insisté défendre la thèse de l'acte naïf. NON! Tout a été savamment organisé et orchestré. Et ils étaient à nouveau Victimes de " la vie privée" du président qui a décidé de dérouler son plan machiavélique encore en exil ici. C'était sans compter avec nous. Ils ont oublié ce détail. Et Nous avons fait AVORTER ce projet !"

Mon commentaire: C'est l'agent double de L'UNG qui qualifie cette marche de "boutade" quand les gens ont decouvert son imposture!