« Le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly est arrivé dimanche au Bourget dans son jet. Il était fatigué, il était inquiet, son cardiologue l’a rassuré et il l’a gardé sous observation », a révélé le journaliste Vincent Hervouët dans son éditorial international diffusé ce mercredi 06 mai 2020.
Une information jusque-là non confirmée ni démentie du côté d’Abidjan. Même si un communiqué de la Présidence ivoirienne, publié par voie de presse le mardi 05 mai 2020, souligne que le chef du gouvernement a effectué un examen de coronarographie « dans le cadre de son contrôle médical périodique à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris (France), le lundi 4 mai 2020 ». Ajoutant qu’à l’issue de cet examen, « son médecin traitant a prescrit un suivi médical et une période de repos ».Mais pour le confrère français, il faut être malade pour venir aujourd’hui en Europe dont les frontières sont fermées, et regagner la France qui est parmi les pays les plus touchés par le virus (ndlr ; Coronavirus). Pour ensuite atterrir à Paris, considéré comme une zone rouge, et filer à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière (…). Homme de confiance du Président Alassane Ouattara et candidat déclaré du RHDP à la présidentielle d’octobre 2020, Amadou Gon Coulibaly poursuivra donc son séjour en France pour quelques semaines avant de regagner la Côte d’Ivoire.
Une situation que Vincent Hervouët considère comme un handicap pour quelqu’un qui aspire à accéder à la magistrature suprême. « Ses rivaux rappellent qu’il a le cœur fragile. C’est un handicap quand on veut devenir président d’avoir trop de cœur », a-t-il fait observer. Et de poursuivre : « Ses adversaires dénoncent des dirigeants qui se font soigner à l’étranger faute d’avoir construit des hôpitaux à la hauteur ».
<<On sait un peu plus sur l’état de santé d’Amadou Gon Coulibaly, Premier ministre, ministre du Budget et du portefeuille de l’Etat. Sidi Tiémoko Touré, porte-parole du gouvernement à l’issue du Conseil des ministres de mercredi 6 mai 2020 a donné quelques précisions.>>
« Monsieur le Premier ministre se porte bien. J’ai eu le privilège de lui parler ce matin. Il est en France depuis le lundi 4 mai 2020 pour effectuer quelques examens de routine. Ce sont des examens périodiques pour suivre un peu son état de santé. Il a effectué une coronarographie qui, il faut le rappeler est une technique d’imagerie médicale utiliser généralement en cardiographie. Cet examen a nécessité la pose de ce qu’on appelle un stent. C’est un dispositif qui sert à dilater une artère. En réalité c’est une opération courante et régulière en matière médicale. Et, à l’issue de cet examen, il lui a été préconisé un repos pour que le suivi médical se fasse de façon beaucoup plus sereine. Aujourd’hui, il se repose et tout se passe bien. Nous envisageons certainement son retour dans quelques semaines », a indiqué Sidi Tiémoko Touré.
Le stent, également appelé prothèse endo-cavitaire ou endoprothèse, est un dispositif médical utilisé en cardiologie et chirurgie vasculaire. Il s’agit d’un petit ressort en métal de quelques millimètres de diamètre, et d’un ou plusieurs centimètres de long. Introduit dans une artère il permet, telle une armature, de la maintenir ouverte. La pose d’un stent accompagne aujourd’hui la grande majorité des angioplasties artérielles transluminales (ATL).
Les stents peuvent être posés dans différentes artères :
au niveau des artères coronaires (les deux artères qui alimentent le cœur) en cas de maladie coronaire, angine de poitrine ou infarctus du myocarde ;
au niveau de la jambe, dans l’artère fémorale ou l’artère iliaque, en cas d’artérite ;
au niveau de l’artère rénale, en cas de sténose de l’artère rénale ;
dans la carotide interne ;
etc.
Fabriqué à l’origine en acier inoxydable, il existe aujourd’hui des stents en acide polylactique, un polymère entièrement biodégradable qui finit par être absorbé par la paroi de l’artère. Autre progrès de ces dernières années : les stents dits actifs. Enrobés de médicaments inhibant la prolifération cellulaire, ces stents nouvelle génération diminuent les risques de ré-obstruction de l'artère.
Comment se passe la pose d’un stent ?
Avant l’intervention
Un bilan sanguin est réalisé pour évaluer la coagulation, la numération formule sanguine et la fonction rénale. Un traitement antiplaquettaire est également prescrit.
L’intervention
Le stent est posé lors d’une angioplastie, sous anesthésie locale. L’angioplastie consiste à insérer une petite sonde dans une artère, soit au pli de l’aine (artère fémorale) soit au niveau du poignet (artère radiale) en fonction de la zone sténosée. La sonde est progressivement amenée jusqu’à l'artère malade, où un petit ballonnet est gonflé au niveau de la zone rétrécie afin d’écraser la plaque d’athérome qui bouche l’artère. Un produit de contraste injecté au préalable permet de bien identifier la zone cible.
Le stent est ensuite mis en place afin de maintenir l'artère ouverte une fois le ballonnet retiré.
Quand poser un stent ?
Au niveau du cœur (stent coronaire)
En cas d’athérosclérose, une plaque d’athérome se forme à l’intérieur des artères coronaires, les deux artères irriguant le cœur. Avec le rétrécissement du calibre des artères, le flux sanguin est diminué et le cœur moins bien irrigué et oxygéné, ce qui augmente le risque d’angine de poitrine (angor) ou d’infarctus du myocarde. Pour « déboucher » les artères, différentes solutions existent :
une thrombolyse, c’est-à-dire un traitement médicamenteux visant à dissoudre les thrombus (caillots sanguins) ;
un pontage aorto-coronarien, intervention chirurgicale consistant à créer une ou plusieurs dérivation à l’aide d’une veine prélevée sur le patient pour contourner le rétrécissement ou la sténose coronaire ;
une angioplastie avec pose de stent.
La technique est choisie en fonction de l’état de santé général du patient, ses antécédents d’insuffisance coronaire, la taille du vaisseau et le nombre d'artères coronaires concernées, l'emplacement de l'artère coronaire bouchée, la facilité d'accès à l'obstruction, etc.
L’angioplastie coronaire est indiquée :
en cas syndrome coronaire aigu, c'est-à-dire une angine de poitrine instable afin d’éviter l'évolution vers l'infarctus du myocarde, ou au cours de l'infarctus aigu du myocarde (dans un délai idéal de 3 heures après le début des symptômes). On parle alors d’angioplastie de sauvetage, réalisée en urgence ;
en cas d’échec de la thrombolyse ;
en cas de maladie coronaire stable. L’angioplastie est alors programmée.
<<Je suis à Paris depuis le dimanche 3 mai 2020, dans le cadre de mon contrôle médical périodique à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière.
Hier, lundi 4 mai 2020, j’ai effectué un examen de coronarographie. A l’issue de cet examen, mon médecin traitant m’a prescrit un suivi médical et une période de repos.
Je poursuivrai donc mon séjour en France pour quelques semaines avant de regagner la Côte d’Ivoire.
Je remercie toutes les personnes qui m’ont adressé des messages en provenance de la Côte d'Ivoire et du monde entier.>> Amadou Gon Coulibaly
Voici la reaction d’un ivoirien qui a subit un un examen de coronarographie en France.
Pris sur le net:
<< J'ai déjà subi un examen de coronarographie le 28 août 2015 au centre hospitalier sud francilien. C'est un examen qui se fait à un patient qui a fait un malaise cardiaque. Il a pour objet de vérifier si c'est une veine qui est la cause du problème cardiaque. Ce qui signifie que ce n'est pas un examen de routine. On nous a donc encore menti sur l'état de santé du premier ministre Amadou Gon Coulibaly.
Son interlocuteur lui demande: << Comment interprètes-tu les prescriptions du médecin du PM? Y a-t-il une chance pour une reprise d’activité à court et moyen terme (6 mois)?>>
Sa reponse: << bien que mes résultats étaient négatifs, j'ai été retenu à l'hôpital pendant 3 semaines et j'ai eu un arrêt de travail de trois mois pendant lequel mon médecin traitant m'a demandé de faire une démarche auprès de la MDPH. J'ai été reconnu comme travailleur handicapé avec pour recommandations de bénéficier d'un reclassement professionnel. Désormais, je ne devrais avoir qu'un poste administratif.>>
Dans mon reve du 15 avril 2020 sur la santé de monsieur Gon Coulibaly, j’ecrivais ceci: << En fait, c’est comme s’il n’y avait pas de vie, dans la girafe qui avait besoin d’aide, elle ne tenait, que parceque l’autre girafe l’aidait a se nourrir. C'est comme si le sang ne circulait pas bien dans son corps.>>
J’ai ensuite interprete le reve en disant:
<<Les deux girafes, sont la metaphore des deux hommes puissants au sommet de l’etat en Cote d’Ivoire. C’est a dire, le president de la republique et son premier ministre. Le president de la republique, est celui qui est entrain de faire mains et pieds, pour imposer son premier ministre, comme future president de la Cote d’Ivoire. Mais sonpremier ministre est malade, selon ce que, j'ai vu dans mon reve, et ne tiendra pas. Son cou cede dans le reve , il tombe et il meurt. Le bruit assourdissant dans le reve est le choc que produira cette nouvelle! Cette mort, n’est peut-etre pas une mort physique, cela peut etre le symbole de la fin de sa carriere politique. Apres cela, son mentor (le president), n’aura plus de pouvoir, il ne pourra plus se mouvoir pour manigancer des projets machiaveliques dans la politique ivoirienne. D'ou son lourd handicap dans le reve, metaphore du musulman lourdement handicape qui suppliait Dieu dans sa priere.>>
Deja le 02 mars 2019, je faisais un reve sur Dramane Ouattara et monsieur Gon Coulibaly, qui etaient sur un bateau attendant leur sort!
Ce reve, je l'ai intitule: <<Ils etaient sur un bateau, Gon Coulibaly et lui, ce qui veut dire; qu'ils vont quitter les lieux, ils sont sur le depart! Larguez les amarres!>>
Voila donc!
Les jours a venir nous situerons sur la carriere politique de ces deux hommes!
Ils etaient sur un bateau, Gon Coulibaly et lui, ce qui veut dire; qu'ils vont quitter les lieux, ils sont sur le depart! Larguez les amarres!
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Reve du samedi 02 mars 2019,
Dans ce reve je vois messieurs Dramane Ouattara et Gon Coulibaly avec des membres de leur parti politique, sur un bateau entrain de celebrer la "reussite" de leur gouvernance. Pendant que les membres de leur parti etaient au devant du bateau entrain de danser et boire, messieurs Dramane Ouattara et Gon Coulibaly etaient eux, a l'ecart, arretes, a l'arriere du bateau comme s'ils attendaient leur sort.
Fin du reve!
Ce reve nous reconfirme que le gouvernement de Dramane Ouattara va quitter les lieux! Ils vont degager!!
Symbole de bateau:
"Dans un scénario onirique, quel que soit le bateau qui nous emporte, il invite au voyage. C'est une forte suggestion à "quitter les lieux"… pour un ailleurs autrement. Le bateau dit gentiment "Larguez les amarres!"et c'est un appel qui n’appelle pas plus de commentaires. "
La coronarographie est un examen qui permet de visualiser les artères coronaires, c’est-à-dire les artères qui apportent le sang au cœur.
Cette radiographie des artères coronaires permet notamment de s’assurer que celles-ci ne sont pas rétrécies ou bouchées par des plaques d’athérosclérose.
Pourquoi faire une coronarographie ?
La coronarographie reste l’examen de référence pour visualiser les artères du cœur et observer les éventuels rétrécissements (= sténoses) pouvant altérer la circulation sanguine au niveau du cœur. Ces rétrécissements peuvent être responsables d’angine de poitrine, d’insuffisance cardiaque et d’infarctus du myocarde. Elle est plus souvent pratiquée que le coroscanner, qui est réservé pour certains cas précis.
Les indications de la coronarographie sont notamment :
La présence de douleurs au niveau de la poitrine, survenant en cours d’effort surtout (examen en urgence ou programmé)
pour contrôler et surveiller des pontages coronariens déjà mis en place
pour faire un bilan pré-opératoire en cas de valvulopathie (= maladie des valves cardiaques) chez certains patients
pour rechercher des anomalies de naissance (congénitales) des artères coronaires.
C'est une information exclusive de LSI AFRICA. Selon une source crédible à l'aéroport Félix Houphouet Boigny à Abidjan, l'actuel Premier ministre ivoirien Amadou Gon Coulibalyaurait été victime d'un malaise cardiaque ce samedi Matin vers 11h.
On savait sa santé fragile. Mais ce samedi tout est allé très vite pour le dauphin désigné du président ivoirien Alassane Ouattara. Pris subitement d'un malaise alors qu'il allait bien, Amadou Gon Coulibaly a été évacué ce samedi à bord un vol spécial qui a décollé du GATL ( Groupement aérien de transport et de liaison) à 22h30 pour la France.
En 2012, Amadou Gon Coulibaly, alors ministre d’État et secrétaire général de la présidence ivoirienne, avait été hospitalisé en France à la suite d’un malaise cardiaque. Il avait alors subi une transplantation cardiaque à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris. Cette intervention avait duré six heures.
Ironie du sort pour Hambak
L'information exclusive donnée parLSI AFRICAa pris de vitesse l'exécutif ivoirien. Au départ, les autorités ne souhaitaient pas révéler la nouvelle -pas de sitôt- pas de cette façon. Mais après avoir eu vent de notre publication qui a fait le tour des réseaux sociaux, il fallait éviter toute spéculation. Dans la foulée, la télévision publique ivoirienne, la RTI, a confirmé nos infos à travers un communiqué signé du secrétaire général du gouvernement ivoirien, Patrick Atchi. Il est fait mention dans ce communiqué d'un "contrôle médical", pour minimiser l'impact auprès de l'opinion est-on tenté de croire...Hamed Bakayoko, a donc été désigné parAlassane Ouattarapour assurer l'intérim du Premier ministre et candidat du RHDP. Un coup dur pour le président ivoirien, surtout dans un contexte sanitaire critique.
Amadou Gon Coulibaly évacué pour raison de santé, son "meilleur ennemi" Hamed Bakayoko désigné pour assurer son intérim, tout ceci à quelques mois de l'élection présidentielle, laisse la porte largement ouverte aux fantasmes et aux scénarios les plus fous sur les bords de la Lagune Ébrié. Nous y reviendrons !
Reve de ce matin du 15 avril 2020: Les deux girafes, la metaphore de Dramane Ouattara et Gon Coulibaly
Published onby Akeulette
Dans ce reve, je vois deux girafes, qui mangeaient tranquillement des feuilles d’un grand arbre. Cet arbre etait geant. On aurait dit que, ces deux girafes etaient des siamois. Ils etaient attaches l’un a l’autre par leur cou. Et c’est la girafe qui avait le cou au dessous, qui aidait l’autre a lever son cou, pour pouvoir manger tranquillement les feuilles de cet arbre geant. En fait, c’est comme s’il n’y avait pas de vie, dans la girafe qui avait besoin d’aide, elle ne tenait, que parceque l’autre girafe l’aidait a se nourrir. C'est comme si le sang ne circulait pas bien dans son corps.Et puis tout a coup, je vois le cou de la girafe qui avait besoin d’aide ceder, son cou se casse, et elle tombe sur le goudron dans un bruit assourdissant, c'etait effrayant.L'arbre geant, est la metaphore de la Cote d'Ivoire. Je vois ensuite un musulman entrain de prier sur la peau de cette girafe qui venait de mourir. Cet homme me faisait de la peine, il etait lourdement handicape, je le voyais supplier Dieu dans sa priere, il faisait de grands gestes dans sa priere. Il ne pouvait plus se lever a cause de son grand handicap.
Interpretation du reve:
Les deux girafes, sont la metaphore des deux hommes puissants au sommet de l’etat en Cote d’Ivoire. C’est a dire, le president de la republique et son premier ministre. Le president de la republique, est celui qui est entrain de faire mains et pieds, pour imposer son premier ministre, comme future president de la Cote d’Ivoire.Mais son premier ministre est malade, selon ce que, j'ai vu dans mon reve, et ne tiendra pas. Son cou cede dans le reve , il tombe et il meurt. Le bruit assourdissant dans le reve est le choc que produira cette nouvelle! Cette mort, n’est peut-etre pas une mort physique, cela peut etre le symbole de la fin de sa carriere politique.Apres cela, son mentor (le president), n’aura plus de pouvoir, il ne pourra plus se mouvoir pour manigancer des projets machiaveliques dans la politique ivoirienne. D'ou son lourd handicap dans le reve, metaphore du musulman lourdement handicape qui suppliait Dieu dans sa priere.
CPI : Décision de reprogrammation et instructions concernant l'audience devant la Chambre d'appel
DÉCISION (audience aura désormais lieu entre le mercredi 27 mai 2020 et le vendredi 29 mai 2020.)
1. La Chambre d'appel, considérant que la réception d'autres observations sur les questions ci-dessous qui découlent de l'appel, y compris les observations des parties et des victimes, serait utile pour statuer sur l'appel, invite le Procureur, M. Gbagbo, M. Blé Goudé et les victimes participant à l'appel à présenter des observations en réponse aux questions, et conformément à la procédure, décrite ci-dessous.
2. Rien dans les questions ne doit être compris comme déterminant la position qui sera finalement adoptée dans l'appel par la Chambre d'appel. Les questions sont destinées à guider les parties et les victimes dans leurs soumissions et n'ont pas besoin de recevoir une réponse individuelle. En outre, lors de la présentation des observations en réponse aux questions, l'attention peut être accordée à des questions ou à des sujets particuliers plutôt qu'à d'autres, selon les préférences des parties.
3. Le Procureur, M. Gbagbo et M. Blé Goudé sont invités à présenter des observations en réponse aux questions ci-dessous, ne dépassant pas 25 pages, avant le vendredi 22 mai 2020 à midi. Les victimes sont invitées à présenter des observations ne dépassant pas 15 pages dans le même délai.
4. L'audience dans le cadre du présent appel, qui doit actuellement se tenir du lundi 11 mai 2020 au mercredi 13 mai 2020, est annulée. Cette audience aura désormais lieu entre le mercredi 27 mai 2020 et le vendredi 29 mai 2020. La chambre des recours communiquera en temps utile la ou les dates exactes et la forme de cette audience, qu'elle soit virtuelle ou non, y compris un calendrier précis de l'audience (au cours de laquelle seront entendus tous les développements et/ou réponses nécessaires aux observations écrites).
CPI : Questions à poser à la chambre de recours
I. LE PREMIER MOTIF DU RECOURS
1. Quelle disposition du Statut de Rome devrait régir la décision qu'une Chambre de première instance rend à la suite d'une motion de "non-réponse" ?
2. Est-il raisonnable d'interpréter le terme "décision" de l'article 74 comme une référence au jugement définitif de la Chambre de première instance ?
3. Y a-t-il quelque chose dans l'interprétation de l'article 74 qui exclut nécessairement de son champ d'application la décision de la Chambre de première instance à la suite d'une motion de "non réponse", si tel est le jugement définitif de la Chambre de première instance ?
4. En particulier,
a) Comment faut-il interpréter l'expression "toute la procédure" dans une circonstance donnée, au sens de l'article 74, paragraphe 2 ? Cette expression fait-elle exclusivement référence à la procédure de jugement dans laquelle la défense a présenté ses arguments ? Ou bien, l'expression est-elle raisonnablement adaptée à l'ensemble de la procédure jusqu'au La motion "pas de cas à répondre" ?
b) Y a-t-il des résultats exclusifs (tels que des condamnations, des acquittements, etc.) qui sont envisagés à l'article 74 avant que la disposition puisse s'appliquer ? Dans l'affirmative, la disposition est-elle nécessairement inapplicable simplement parce que toutes ces issues possibles ne sont pas également applicables dans un ensemble particulier de circonstances ? Par exemple, l'article 74 reste-t-il applicable à une décision faisant suite à un "non-lieu à répondre", bien que la procédure de "non-lieu à répondre" ne comporte pas la même possibilité de condamnation à ce stade qu'un acquittement ?
c) Dans l'affaire Le Procureur c. Ntaganda, la Chambre d'appel a notamment examiné (i) qu'il est du ressort de la Chambre de première instance de décider si la procédure "sans réponse" doit être appliquée ; et, (ii) que l'objectif de cette procédure est sans doute de protéger les droits de l'accusé. Cela peut être envisagé en s'assurant qu'il n'est pas obligé de continuer à être jugé / rester en détention au-delà de la fin de la clôture de l'affaire du Procureur si la demande est acceptée. Ces considérations retirent-elles nécessairement la décision qui en résulte du régime de l'article 74 ?
6. Y a-t-il des indications à tirer de la jurisprudence du TPIY qui, à son avis, distingue spécifiquement les acquittements consécutifs à une procédure "sans réponse" de ceux prononcés à la fin du procès ; et que les appels des premiers ne pourraient être accueillis que s'ils ont été certifiés par la chambre de première instance concernée ? Ou bien ces affaires se distinguent-elles de l'affaire en cours devant la chambre d'appel ? Sur quelle base matérielle serait-il correct de refuser au Procureur le droit de faire appel d'un jugement définitif d'acquittement, si un tel jugement lui impose éventuellement l'invalidité du principe ne bis in idem ?
7. Même si l'article 74(5) ne s'applique apparemment pas, ne devrait-il pas être considéré comme applicable dans les circonstances actuelles, étant donné qu'un acquittement a eu pour conséquence sur le fond, engageant ainsi la possibilité d'un caractère définitif à la procédure et au régime de ne bis in idem ? Pourquoi l'article 74, paragraphe 5, ne devrait-il pas être applicable dans ces circonstances, compte tenu notamment du fait qu'aucune disposition ne régit spécifiquement les jugements différents résultant de procédures "sans réponse" ?
8. Une chambre de première instance peut-elle rendre une décision orale d'acquittement ou de condamnation, dont les motifs seront communiqués ultérieurement ? Dans l'affirmative, quel devrait être le contenu d'une telle décision orale ? Est-ce envisagé par l'article 74(5) ?
9. Compte tenu des observations du Procureur, sur quelle base juridique peut-on dire que les violations de l'article 74 5 du Statut rendent la décision "nulle et non avenue" ? Cela signifie-t-il qu'il n'est pas nécessaire d'établir l'effet matériel des erreurs alléguées sur l'issue de la demande de "non-lieu à répondre" et, dans l'affirmative, cela est-il compatible avec l'article 83(2) du Statut ? Une violation de l'article 74(5) fait-elle obstacle à toute considération selon laquelle la justice a néanmoins été rendue en substance ?
II. DEUXIÈME MOTIF DU RECOURS
10. L'essence des motions de "non-réponse" est que le Procureur n'a pas présenté de preuves suffisantes dont l'ensemble pourrait raisonnablement convaincre un juge des faits de condamner. Quelle norme de preuve une chambre de première instance doit-elle appliquer à ce stade de la procédure ? Quelle approche la Chambre de première instance devrait-elle adopter pour l'évaluation des preuves au stade de la "non-affaire à répondre" ? Quel que soit le critère spécifique à appliquer pour faire cette détermination, la question de la suffisance des preuves n'engage-t-elle pas en définitive la question de l'erreur de fait qui satisfait au critère choisi ?
11. Le fait de ne pas définir clairement la norme de preuve pour les procédures "sans réponse" et d'autres normes de preuve pour l'évaluation des éléments de preuve constitue-t-il une erreur juridique et procédurale ?
12. Dans le cadre d'un appel, le fait que la Chambre de première instance ne se soit pas "orientée" (correctement ou pas du tout) vers la norme juridique applicable équivaut-il au fait qu'elle n'ait pas informé à l'avance les parties de la norme juridique applicable ?
13. Y a-t-il une erreur continue susceptible d'appel, s'il est possible de voir dans la décision de la Chambre de première instance qu'elle s'est correctement orientée quant à la norme applicable, malgré la persistance d'une erreur initiale de non-notification préalable aux parties de la norme juridique applicable ?
14. En l'espèce, de telles erreurs ont-elles affecté matériellement la décision de la Chambre de première instance ? Ou, comme l'a indiqué le Procureur, les erreurs alléguées suffisent-elles en elles-mêmes à invalider la décision ?
15. Le fait que les parties aient pu avoir la possibilité de présenter des observations sur la norme de preuve applicable devrait-il affecter l'examen de la Chambre d'appel concernant (a) la question de savoir si la Chambre de première instance a commis une erreur ou non ; et (b) si une telle erreur serait matérielle ou non ?
16. Si la majorité n'est pas d'accord sur le niveau de preuve et les dispositions légales applicables à une procédure de "non réponse", quel en est l'effet sur l'évaluation des preuves et sur la décision de la majorité ?
17. Le Procureur invoque, au titre de ce moyen d'appel, des erreurs de droit et/ou des erreurs de procédure. Elle soutient qu'elle n'allègue pas d'erreurs de fait et que les six exemples de conclusions factuelles qu'elle présente visent à montrer en quoi l'approche de la Chambre de première instance était ambiguë, incohérente et imparfaite.
a) Selon quel critère d'examen les six exemples de constatations factuelles doivent-ils être évalués ?
b) Le Procureur invoque-t-il des erreurs de fait ?
18. En ce qui concerne les constatations factuelles, en général, dans quelle mesure la Chambre de première instance doit-elle faire preuve de déférence en appel en ce qui concerne l'appréciation des faits dans les jugements d'acquittement (i) à la fin de la présentation des moyens de la défense et (ii) à la suite d'une motion de "non-réponse" ?
19. Dans les circonstances particulières de la présente affaire, dans quelle mesure l'appréciation factuelle des éléments de preuve par la Chambre de première instance mérite-t-elle la déférence de l'appel, même en tenant dûment compte du fait que l'affaire porte également ou principalement sur des questions d'erreur de droit ou de procédure ?
III. REMÈDE
20. Quel est le recours du Procureur dans le cadre de cet appel, compte tenu des différents arguments qui ont été présentés ?
a) Cherche-t-elle à obtenir un recours qui consiste simplement à déclarer un vice de procédure, comme le demandent les paragraphes 264 à 267 de son mémoire d'appel ? Dans l'affirmative, elle demande une réparation qui déclare simplement l'annulation du procès, comme le demandent les paragraphes 264 à 267 de son mémoire d'appel ?
i) Que soutient le Procureur pour que le recours d'une
Le "vice de procédure" comprend ?
(ii) Sur quelle base juridique le Procureur peut-il demander une déclaration d'erreur judiciaire à ce stade de la procédure ?
(iii) Quelles sont les conséquences du recours à l'annulation du procès dans la présente affaire ?
- En particulier, le Procureur cherche-t-il à obtenir une déclaration d'erreur judiciaire, à la suite de laquelle il déterminera lui-même s'il convient de poursuivre les poursuites ?
- S'agit-il d'une décision pour le Procureur, compte tenu de l'article 61(9) du Statut et du fait que, " [a]près l'ouverture du procès, le Procureur peut, avec l'autorisation de la Chambre de première instance, retirer les charges " ; en particulier, si les charges ont été confirmées, et donc Si le procureur estime qu'il y a des "motifs substantiels", doit-il décider ou doit-il poursuivre l'affaire, à moins qu'il ne soit autorisé à retirer les charges ?
(iv) Une déclaration d'annulation de procès peut-elle être faite à ce stade de la procédure d'une manière équitable et dans le plein respect des droits de l'accusé ? À cet égard, une déclaration d'annulation du procès pourrait-elle être faite d'une manière compatible avec les droits fondamentaux de l'accusé, notamment le principe ne bis in idem prévu à l'article 20 et le droit de la défense prévu à l'article 67 1 e du Statut ?
b) Ou bien le Procureur cherche-t-il en fait à obtenir un nouveau procès devant une nouvelle Chambre de première instance, ce qui semblait être sa position lors de l'audience du 6 février 2020 dans le cadre de la procédure de mise en liberté provisoire y afférente ? Dans l'affirmative, un tel nouveau procès pourrait-il maintenant être mené de manière rapide et équitable, en particulier pour l'accusé, en gardant également à l'esprit que l'affaire en était, au moment de la procédure de "non-lieu à répondre", au stade où la présentation des preuves par le Procureur était close et où la défense n'avait pas encore été entendue ; et les arguments présentés concernant, par exemple, le temps écoulé depuis le début de cette procédure et l'impact éventuel de celle-ci sur les preuves ?
Fait en anglais et en français, la version anglaise faisant foi.
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Le juge Chile Eboe-Osuji préside
Hier 28 avril 2020, toujours dans la continuité de mon songe du 06 janvier 2016, le parquet d’Abidjan a requis, contre Soro Guillaume<<20 ans de prison ferme, 4,5 milliards de F CFA d’amende, et à la privation de ses droits civiques pendant cinq ans.>> << il a été reconnu coupable de recel de deniers publics detournés et de blanchiment de capitaux.>>
La reaction de Soro Guillaume quelques minutes après sa condamnation.
<< C’est une sentence qui ne nous émeut absolument pas. La parodie de procès à laquelle nous avons assisté ce jour est la preuve ultime que l’État de droit est définitivement enterré par Alassane Ouattara. Je lui dis que cette décision ne nous ébranle pas. Je considère ce verdict comme un non-événement, je maintiens ma candidature à la présidentielle et je demande à tous mes partisans de demeurer mobilisés et de continuer le travail de mobilisation et d'implantion. Notre victoire ne fait aucun doute. Nous gagnerons la prochaine élection présidentielle, c'est une certitude.>> (Jeune Afrique)
Lui, Soro Guillaume, pour se soulager de sa peine, continue dans dans l' arrogance en proclamant qu’il va gagner les elections presidentielles de 2020 en Cote d’Ivoire, alors que, jusqu’ici, toute les visions que j’ai eu sur lui sont, tres, tres negatives! Vous avez pu les lire sur mon blog.
Les 22 et 23 fevrier 2020, j’ai eu deux visions sur lui, que je n’ai pas eu le courage de publier sur mon blog, car je ne veux pas attrister ces partisants. J’ai redigee et gardee ces visions au brouillon, au moment opportun, je les publierai.
Dans ce reve, je vois deux girafes, qui mangeaient tranquillement des feuilles d’un grand arbre. Cet arbre etait geant. On aurait dit que, ces deux girafes etaient des siamois. Ils etaient attaches l’un a l’autre par leur cou. Et c’est la girafe qui avait le cou au dessous, qui aidait l’autre a lever son cou, pour pouvoir manger tranquillement les feuilles de cet arbre geant. En fait, c’est comme s’il n’y avait pas de vie, dans la girafe qui avait besoin d’aide, elle ne tenait, que parceque l’autre girafe l’aidait a se nourrir. C'est comme si le sang ne circulait pas bien dans son corps. Et puis tout a coup, je vois le cou de la girafe qui avait besoin d’aide ceder, son cou se casse, et elle tombe sur le goudron dans un bruit assourdissant, c'etait effrayant.L'arbre geant, est la metaphore de la Cote d'Ivoire. Je vois ensuite un musulman entrain de prier sur la peau de cette girafe qui venait de mourir. Cet homme me faisait de la peine, il etait lourdement handicape, je le voyais supplier Dieu dans sa priere, il faisait de grands gestes dans sa priere. Il ne pouvait plus se lever a cause de son grand handicap.
Interpretation du reve:
Les deux girafes, sont la metaphore des deux hommes puissants au sommet de l’etat en Cote d’Ivoire. C’est a dire, le president de la republique et son premier ministre. Le president de la republique, est celui qui est entrain de faire mains et pieds, pour imposer son premier ministre, comme future president de la Cote d’Ivoire. Mais son premier ministre est malade, selon ce que, j'ai vu dans mon reve, et ne tiendra pas. Son cou cede dans le reve , il tombe et il meurt. Le bruit assourdissant dans le reve est le choc que produira cette nouvelle! Cette mort, n’est peut-etre pas une mort physique, cela peut etre le symbole de la fin de sa carriere politique. Apres cela, son mentor (le president), n’aura plus de pouvoir, il ne pourra plus se mouvoir pour manigancer des projets machiaveliques dans la politique ivoirienne. D'ou son lourd handicap dans le reve, metaphore du musulman lourdement handicape qui suppliait Dieu dans sa priere.
Symptômes, transmission, double infection : ce que l'on sait du Covid-19
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Trois mois après le début de la pandémie de coronavirus, le Covid-19 est entré dans le quotidien de milliards d'êtres humains, qui en apprennent chaque jour un peu plus sur cette maladie combattue par les médecins du monde entier. France 24 fait le point sur les dernières informations connues à son sujet.
Comment savoir si l'on est atteint du coronavirus ? Comment l'attraper ? Peut-on être contaminé deux fois ? France 24 fait le point sur les dernières informations connues au sujet de ce nouveau coronavirus : bine connu désormais sous l'appellation de Covid-19.
Quels sont les symptômes de ce virus ?
Si vous souffrez de troubles respiratoires, de fièvre, de toux, ou si vous vous essoufflez ou avez des difficultés respiratoires, vous êtes potentiellement touché par le Covid-19. Ces symptômes listés par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) peuvent être plus ou moins présents selon les cas. L'évolution peut aussi être fluctuante, avec des hauts et des bas.
Autre symptôme fréquent : la perte d'odorat et de goût. Selon une récente étude belge réalisée sur 417 patients infectés de façon "non sévère", 86 % présentent des troubles de l'odorat (la plupart ne sentant plus rien) et 88 % des troubles du goût. En général, les symptômes durent deux semaines, parfois plus, parfois moins. Et l'aggravation peut survenir dans un second temps.
"Dans les cas les plus graves, l'infection peut entraîner une pneumonie, un syndrome respiratoire aigu sévère [SRAS], une insuffisance rénale, voire la mort", précise l'OMS.
Il n'existe ni vaccin ni médicament et la prise en charge consiste à traiter les symptômes. Certains patients se voient malgré tout administrer des antiviraux ou d'autres traitements expérimentaux, dont l'efficacité est en cours d'évaluation.
Par ailleurs, on peut être porteur du virus, sans en avoir les symptômes (on dit alors que le patient est "asymptomatique"). D'où la nécessité, sans être testé, de ne sortir de chez soi qu'en cas de nécessité.
Quels modes de transmission ?
Le virus se transmet essentiellement par voie respiratoire et par contact physique. La transmission par voie respiratoire se fait à travers les gouttelettes de salive expulsées par le malade (symptomatique ou asymptomatique), par exemple lorsqu'il tousse. Les scientifiques estiment que cela nécessite une distance de contact rapprochée (environ un mètre, voire 1,50 mètre).
Pour éviter la contagion, les autorités sanitaires insistent sur l'importance des mesures-barrières : éviter de se serrer la main et de s'embrasser, se laver les mains fréquemment, tousser ou éternuer dans le creux de son coude ou dans un mouchoir jetable, porter un masque (que l'on soit malade ou non)... En outre, on peut être contaminé en touchant un objet infecté, puis en portant sa main à son visage (yeux, nez, bouche...). Il est donc très important de se laver régulièrement les mains.
Une étude publiée mi-mars dans la revue américaine NEJM a montré que le Covid-19 est détectable jusqu'à deux à trois jours sur des surfaces en plastique ou en acier inoxydable, et jusqu'à 24 heures sur du carton. Toutefois, ces durées maximales ne sont que théoriques, car enregistrées en conditions expérimentales.
"Ce n'est pas parce qu'un peu de virus survit que cela est suffisant pour contaminer une personne qui toucherait cette surface. En effet, au bout de quelques heures, le virus [dans sa grande majorité] meurt et n'est probablement plus contagieux", soulignent les autorités sanitaires françaises sur le site officiel du gouvernement sur le coronavirus.
Autre inconnue : la faculté du Covid-19 à se transmettre via l'air expiré (les "aérosols" dans le jargon scientifique) et pas uniquement la toux ou les éternuements. Objet de nombreuses spéculations ces dernières semaines, ce mode de transmission n'est pas encore scientifiquement prouvé.
Peut-on être infecté deux fois ?
Est-il possible d'être contaminé par le coronavirus, de guérir, d'être testé négatif, puis d'être réinfecté dans la foulée ? Quelques cas en Asie ont soulevé cette question. Dans la mesure où ces cas étaient isolés, les scientifiques pensent qu'ils s'expliquent par le fait que ces patients n'avaient en réalité jamais vraiment guéri. Le test négatif peut soit venir du fait qu'il a été mal réalisé, soit d'une très faible présence du virus dans l'organisme. Pour autant, on manque toujours de certitudes sur l'immunité qu'on peut acquérir contre le virus.
En se basant sur l'exemple d'autres maladies virales, les spécialistes jugent vraisemblable qu'une fois guéri, on soit temporairement immunisé, même si cela n'est pas encore prouvé. Cela étant, on ignore la durée de cette immunité supposée. Or, cette question est cruciale.
"Si une personne peut en théorie être immunisée pendant une longue période, par exemple 12 à 24 mois, elle peut alors retourner dans les lieux publics en toute sécurité, même si le virus circule encore […]. À l'inverse, si l'immunité est très courte, une personne qui a déjà été infectée pourrait l'être à nouveau très vite après sa guérison", explique le Centre pour les études stratégiques et internationales (CSIS) à Washington.
Quels sont les individus les plus à risque ?
La gravité du Covid-19 et la maladie provoquée par ce nouveau coronavirus, augmentent avec l'âge, comme l'ont établi différentes études. Parue le 31 mars dans la revue médicale britannique The Lancet, la dernière en date montre que la maladie est en moyenne beaucoup plus redoutable pour les personnes de plus de 60 ans, avec un taux de mortalité de 6,4 % (parmi les cas confirmés).
Le taux de mortalité grimpe même à 13,4 % pour les plus de 80 ans contre 0,32 % de décès seulement pour les moins de 60 ans, selon ces travaux portant principalement sur plusieurs centaines de cas chinois observés en février. De même, cette étude montre que la proportion des malades nécessitant une hospitalisation grimpe fortement avec l'âge : 0,04 % pour les 10/19 ans, 4,3 % pour les 40/49 ans, 11,8 % pour les 60/69 ans et 18,4 % pour les plus de 80 ans. Ce dernier chiffre signifie qu'environ un octogénaire sur cinq développe une forme suffisamment grave pour nécessiter une hospitalisation.
Outre l'âge, le fait d'avoir une maladie chronique (insuffisance respiratoire, pathologie cardiaque, antécédent d'AVC, cancer, obésité...) est un facteur de risque, c'est ce qu'on appelle les facteurs de comorbidité. Dans un récent rapport portant sur 10 000 morts, l'Institut supérieur de la santé (ISS) italien a recensé des pathologies courantes sur les personnes décédées. Les plus fréquentes sont l'hypertension (73,5 % des cas), le diabète (31 %) ou la cardiopathie ischémique (une pathologie cardiaque lourde, 27 %).
Enfin, selon une vaste analyse publiée le 24 février par des chercheurs chinois dans la revue médicale américaine Jama, la maladie est bénigne dans 80,9 % des cas, "grave" dans 13,8 % des cas et "critique" dans 4,7 % des cas.
À quel nombre de morts doit-on s'attendre ?
Si on rapporte le nombre de morts dans le monde au nombre total de cas officiellement recensés, le Covid-19 tue environ 5 % des malades diagnostiqués, avec des disparités selon les pays. Mais le supposé taux de létalité doit être pris avec des pincettes, car on ignore combien de personnes ont réellement été infectées. Dans la mesure où de nombreux patients semblent développer peu, voire pas de symptômes, leur nombre est vraisemblablement supérieur aux cas détectés, ce qui ferait donc baisser ce taux.
De plus, les pays appliquent des politiques de tests très différentes et certains ne testent pas systématiquement tous les cas suspects. En réalité, si l'on intègre une estimation des cas non détectés, "cela donne sans doute un taux de mortalité autour de 1 %", soit "10 fois plus que la grippe saisonnière", a expliqué il y a quelques semaines l'Américain Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des maladies infectieuses, devant le Congrès.
L'étude publiée dans The Lancet le 31 mars évaluait à 1,38 % la proportion de morts parmi les cas confirmés. Cela étant, la dangerosité d'une maladie ne dépend pas seulement du taux de mortalité dans l'absolu mais aussi de sa faculté à se répandre plus ou moins largement.
Même si seuls 1 % des malades meurent, "cela peut faire des chiffres importants si 30 % ou 60 % d'une population sont infectés", souligne le Dr Simon Cauchemez, de l'Institut Pasteur à Paris.
L'autre facteur qui aggrave la mortalité liée à cette nouvelle maladie est l'engorgement des hôpitaux dû à un afflux massif de cas. Cela complique non seulement la prise en charge des malades atteints de formes graves du Covid-19, mais aussi celle de tous les autres.
Le coronavirus à l'origine de la maladie nommée «Covid-19» et parti de la ville chinoise de Wuhan, s'est désormais répandu sur toute la planète. On dénombre 8.911 morts en France.
> La pandémie a fait plus de 70.000 morts à travers le monde, pour plus de 1.244.740 de cas recensés.
> Le dernier bilan en France fait état de8.911 morts, dont 6.494 à l'hôpital et 2.417 dans les Ehpad.
> Plus de la moitié de l'humanité à été appelée à se confiner.
21H22
Le Premier ministre britannique Boris Johnson, testé positif au nouveau coronavirus il y a dix jours, a été transféré en soins intensifs lundi, au lendemain de son hospitalisation dans le centre de Londres, a annoncé son porte-parole.
"Au cours de l'après-midi, l'état de santé du Premier ministre s'est détérioré et, sur le conseil de son équipe médicale, il a été transféré au service des soins intensifs de l'hôpital", a indiqué le porte-parole. "Le Premier ministre a demandé au ministre des Affaires étrangères Dominic Raab (...) de le remplacer là où nécessaire", a-t-il ajouté dans un communiqué.
Dans la soirée, le Président de la République Emmanuel Macron a apporté, via Twitter, "tout son soutien à Boris Johnson, à sa famille et au peuple britannique»
Tout mon soutien à Boris Johnson, à sa famille et au peuple britannique dans ce moment difficile. Je lui souhaite de surmonter cette épreuve rapidement.
Comme, vous le savez tous, le monde entier traverse une periode difficile avec la percée du virus corona, covid-19 depuis janvier 2020! Face a ce virus inconnu des medecins du monde entier, qui fait des ravages partout sur le globe, les chefs d’etats sont au four et au moulin, avec les medecins, afin de bien informer leur concitoyens, sur la gravite de cette pandemie, en leur donnant des conseils et des instructions sur comment se comporter face a ce virus. Et aussi, pour les informer des futurs messures qui seront prises pour combattre ce virus, si feroce. Voila! Au moment meme ou je suis entrain d’editer mon texte, le facteur vient de frapper a ma porte, il m’a tendu une letter de notre Premier Ministre, monsieur Boris Johnson, qui est lui meme atteint de ce virus, hier dimanche 05 avril 2020, il a ete hospitalise. Cette lettre, m’informe des nouvelles mesure que son gouvernement prendra pour combattre ce virus, il comprend que toute les mesures de distanciation sociale prises par son gouvernement et lui sont difficiles a suivre et peuvent causer des frustrations, mais, il dit avoir pris ces mesures, car, il y’a beaucoup de personnes qui sont infectees par le covid-19, et c’est pour eviter la propagation du virus que ces mesures ont ete prises et aussi parceque les hopitaux sont debordes. Et c’est pour cela qu’il nous demande de << Rester chez nous>> et ne sortir que pour faire des courses necessaires par exemple. Le Corona virus aura ainsi rapproche certains chefs d’etat de leur peuple. Mais helas, ce n’est pas le cas en Cote d’Ivoire, car en effet, des que les dirigeants actuels ont appris que le virus etait entre sur le territoire ivoirien, ce qui est en grande majorite de leur faute, car n’ayant pas pris les mesures necessaires a temps, pour stopper l’entrer de ce virus feroce, sur le territoire ivoirien, ces chers messieurs, ont pris la fuite en allant se refugier dans de luxueux hotels a Assainie, laissant ainsi derriere eux , des ivoiriens affoles et mal informes. Le geste de monsieur Dramane Ouattara et ses amis, nous demontre encore une fois, que ces gens ne portent pas le peuple de Cote d’Ivoire dans leurs coeurs, leur manque de solidarite vis-a vis des ivoiriens en pleine crise du coronavirus nous demontre combien de fois ces gens meprisent les ivoiriens. C’est ainsi que je me suis rappellee de cette vision que j’ai faite le 13 avril 2016 sur eux!
Voici le reve ci-joint intitule: <<La tempete s'abattra sur la maison du tyran et ses acolytes!>>
La tempete s'abattra sur la maison du tyran et ses acolytes!
Published on by Akeulette
Reve du 13 avril dans la soiree
Dans ce reve, j'entends la voix d'un pere, se plaindre de son fils, qui s'est accapare des biens, qui ne lui appartenaient pas. Le pere disait: " Au lieu de m'ecouter, il s'est enferme dans sa maison".
La maison qu'on me montre est situee dans un ravin, un endroit difficile d'acces au public. Le tyran et amis s'y etaient retranches, je pouvais les voir dans l'oeil de boeuf de leur porte. J'ai vu un petit groupe de personnes qui etaient allongees, pres d'un feu.
Apres les plaintes du pere, une tempete s'abbatait immediatement sur cette maison, il y'avait plein d'eclaires au dessus de cette maison.
Les habitants de ce quartier sont sortis pour voir ce qu'il se passait, eux ils n'etaient pas touches par cette tempete.
Fin du reve.
Symboles:
Le tyran enferme dans sa maison, cette maison difficile d'acces au public, est le coeur endurci du tyran Burkinabe, qui n'a aucun amour pour le peuple ivoirien et qui ne veut pas s'approcher des Ivoiriens.
La tempete symbolise, une punition, un chatiement divin. Il aura un bouleversement de situation en Cote d'Ivoire!!!
Ce reve nous parle, du coeur endurci du tyran Burkinabe, qui n'ecoute pas Dieu son pere, son createur, et qui continue de faire souffrir les populations Ivoiriennes. Dieu a perdu sa patience envers ce mechant fils au coeur endurci et lui montre, qu'il est en colere contre lui, la tempete qui symbolise ici la colere de Dieu, s'abbatra sur Dramane Ouattara et ses amis. La situation de la Cote d'Ivoire changera apres cette tempete.